Elle n’a peut-être pas encore complètement disparu. C’est dire que la falaka a, sans mauvais jeu de mot, la peau dure. Suspendu par les pieds, en général attachés entre eux à l’aide d’une corde ou d’une latte en bois, l’enfant est en position pour le supplice. A l’aide d’un bâton ou d’une natte en osier tressée, le bourreau s’acharne à frapper la plante des pieds, zone où la peau est la plus fine, donc la plus sensible. La falaka est le châtiment corporel le plus courant dans l’histoire de l’éducation marocaine. Sur cette photo datant de 1936, la victime est un enfant juif de la communauté israélite.
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