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Abderrahim Kassou : «À Casablanca, le capital a toujours eu son mot à dire» – Zamane

Sami Lakmahri par Sami Lakmahri
30 mai 2020
dans DOSSIERS
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Peut-on dater la naissance du « Casablanca moderne » au début du Protectorat ?
Je n’utiliserais pas ce marqueur temporel de 1912. Pour moi, cet épisode est plutôt une renaissance. L’histoire moderne de Casablanca remonte à plus longtemps. Cet aspect de ville pionnière, qui est également une renaissance à l’échelle de l’Histoire, remonte au XVIIIe siècle sous le règne du sultan Mohammed Ben Abdellah (1756-1790). C’est à cette époque que se manifeste une réelle volonté politique de régénérer un territoire. Evidemment, son développement n’est pas comparable avec celui que connaît la ville au XXe siècle. Mais au moins, sur le plan urbanistique, il existe déjà un désir de cadrer ce territoire par des équipements comme la mosquée et les enceintes. Dans le même temps, un apport de population juive et musulmane vient nourrir la ville en développant le commerce, et en établissant une garnison militaire et un noyau administratif. L’heure était à un virage du Maroc vers l’Atlantique, comme le confirme la fondation d’Essaouira à la même époque.

À cette époque, la ville est-elle déjà prévue pour un essor
important ? Son potentiel est-il ressenti ?
C’est difficile à dire. En revanche, il est certain que Casablanca appelée alors Anfa, fait partie d’un dispositif important pour le développement et la défense du littoral atlantique. Mais un peu plus tard, au XIXe siècle, le sultan Hassan Premier (1873-1894) se projette d’avantage dans le futur essor de la cité. Preuve en est sa volonté de construire « sour ajdid » (la nouvelle muraille) au début des années 1890 qui permet l’extension de l’ancienne médina côté ouest. Pour l’époque, l’ampleur d’un tel chantier est un indice de l’importance stratégique déjà octroyée à la future Casablanca. C’est d’ailleurs à ce moment que les deux caractéristiques principales de la Casablanca moderne apparaissent : le commerce et la migration. Cette dernière est singulière car il n’existait pas vraiment de population autochtone ancienne. L’histoire tourmentée d’Anfa a fait en sorte que la ville ait été dépeuplée plusieurs fois à cause notamment de catastrophes naturelles, comme le séisme de 1755. Une migration d’ailleurs bien plus variée que ce que les clichés laissent entendre. Non seulement il ne s’agit pas que d’exode rural, mais le peuplement de Casablanca est aussi international. Des communautés italiennes ou espagnoles s’y sont installées avant même la signature du traité du Protectorat avec la France. Une identité qui fait qu’aujourd’hui, les Casablancais sont d’ici et d’ailleurs.

La rigueur et l’organisation urbaine sont-elles apparues avec l’avènement du Protectorat?
Oui et non à la fois. Ce qui est certain, c’est la volonté politique des Français de faire de Casablanca un centre de commandement. Dans leur logique, la ville est pensée comme l’un des trois piliers de l’axe Port Lyautey (Kénitra) – Rabat – Casablanca. Trois villes qu’ils voulaient stratégiques. La première a servi de base militaire, la seconde a été la capitale administrative et politique et la troisième, Casablanca, a été conçue comme une place économique forte. Concernant la ville en elle-même, il est évident que l’infrastructure déployée témoigne de l’ambition prévue pour Casablanca. Cet effort a débuté avant l’installation officielle du Protectorat en 1912. Le port, par exemple, est une grande structure dont la construction a débuté en 1907. À ce moment, le contrat est passé entre deux pays souverains, le Maroc et la France. Ceci étant, la notion contemporaine de l’urbanisme, à savoir la capacité à façonner la ville à l’aide de données sociologiques et démographiques, apparaît avec la France, et avec le maréchal Lyautey en particulier. Lyautey prend bien vite conscience que la notion de la ville est essentielle à la réussite du Protectorat au Maroc. Il s’appuie alors sur un cercle de réflexion nommé « le musée social » qui se regroupe à Paris et qui comprend entre autres des architectes, des sociologues, des paysagistes. Parallèlement à cette innovation, les autorités françaises mettent en place une gestion administrative par notamment la création du service des plans. Ceci étant, il ne faut pas croire que la croissance de Casablanca est entièrement maîtrisée. Des pans entiers de la croissance urbaine de la ville se réalisent d’une façon indépendante des planifications. Ce qui est vrai aujourd’hui l’était tout autant hier.

Pourquoi cette croissance « anarchique » s’est-elle développée ?
Casablanca est une ville adossée à l’argent et au business. Naturellement, la spéculation y tient une place importante. Dans ce cadre, le poids des intérêts privés est incontournable pour comprendre les orientations prises par Casablanca. En fait, l’Etat, quel qu’il soit, n’a jamais eu le monopole de la planification urbaine. Le capital a toujours eu son mot à dire. Ce monde ne peut être qualifié d’anarchique car il obéit à des règles, certes propres à ce milieu, mais des règles tout de même. Cependant, les autorités ont essayés de reprendre le contrôle sur certains espaces tel que l’actuelle avenue Mohammed V. Son tracé qui date de 1918 visait à relier la place des nations unis à la gare. Pour ce faire, l’administration a tout de même du négocier avec les privés à travers ce qu’on a appelé « les assemblées de propriétaires » pour compenser les terrains récupérés par l’état. Une forme d’organisation hybride qui n’existait pas encore en métropole et qui crée d’ailleurs une grande diversité des quartiers. Cet état d’esprit, où le capital cherche avant l’esthétique, le gigantisme, le confort et le spectaculaire se traduit encore aujourd’hui sous le cliché d’une ville qui frime. C’est pour cela que nous ne considérons pas Casablanca comme une ville coloniale typique comme peut l’être Dakar par exemple. Elle est une ville en situation coloniale.

La population de Casablanca est diverse. Comment les habitants coexistent-ils ?
Tout n’est pas rose dans cette coexistence entre communautés. Les clivages se traduisent sur le plan urbain par une différence entre les quartiers. Evidemment, on ne vit pas de la même façon lorsqu’on est dominant ou dominé. Les espaces réservés aux européens ne sont pas les mêmes accordées aux marocains. D’autres sont plus reconnaissables à travers les confessions des habitants qui y vivent. Vous trouverez donc par exemple plus de synagogues dans certaines zones, ou d’avantage de mosquées dans d’autres. Il existe néanmoins une tendance qui brasse une population nombreuse et variée, celle des ouvriers. Des quartiers qui leur sont dédiés comme Maârif, Roches noires ou Carrières centrales, brisent le cliché simpliste de l’apartheid. Ce fait urbain ne correspond donc pas à cette « norme » en termes de séparation entre communautés.

À l’aube de l’indépendance, comment s’est traduite, sur le plan urbain, l’imminence du départ des Français ?
Comme je vous l’ai expliqué, le système de gestion urbain est en grande partie entre les mains des intérêts privés. Ce système n’est pas souvent tributaire de l’actualité politique. Cet ensemble propre à la ville, ne permet pas de calquer les étapes historiques via le prisme de l’histoire politique. Casablanca n’a pas cessé d’être ce qu’elle est à partir de 1956. D’ailleurs, la présence française dans cette ville ne correspond pas à 1912, mais plutôt à 1907 et l’invasion de la Chaouia. De plus, les nombreux français « libéraux » en faveur d’une décolonisation habitaient à Casablanca, à l’image du plus célèbre d’entre eux, Jacques Lemaigre Dubreuil. Au-delà de ce cas, d’autres acteurs importants de l’urbanisme casablancais sont restés bien après l’indépendance. Jean-François Zevaco, symbole de l’architecture lyrique des années 1950 et 1960, a par exemple construit le marché de la rue d’Agadir en 1976. Jusqu’aux années 1970, vous trouvez les mêmes influences urbaines qu’avant l’indépendance. Enfin, il faut bien se rendre compte que la nouvelle administration marocaine ne pouvait tout simplement pas faire face seule à tous les défis urbains auxquels devait faire face Casablanca à l’indépendance. Le temps donc de former la première génération d’architectes et d’urbanistes marocains.

Aujourd’hui se pose avec insistance la question relative au patrimoine casablancais. Comment faire le tri dans l’histoire urbaine de la ville ?
Un élément est considéré comme un patrimoine pour trois raisons. La première concerne son intérêt scientifique. Si le style d’un immeuble de Casablanca est étudié dans les universités du monde entier, ce n’est pas pour rien. Au regard de l’évolution de l’architecture mondiale, ce monument est l’illustration d’une période charnière. Le détruire revient à supprimer de la matière d’étude scientifique. La seconde raison est d’ordre historique. Un bâtiment au style tout à fait banal comme le commissariat de Derb Moulay Cherif est tout de même un puissant symbole d’un pan de l’histoire contemporaine de la ville et du pays. Enfin, la troisième raison est liée à la reconnaissance que portent les habitants de Casablanca à un monument quel qu’il soit. Si ce dernier est un marqueur urbain comme peuvent l’être aujourd’hui les Twin Towers, il est considéré aussi comme un patrimoine. C’est une affaire de consensus social. Si un monument rempli au moins l’un de ses trois critères, il intègre la liste du patrimoine.

Comment le protéger ?
Je pense qu’à Casablanca, nous avons dépassé la question de savoir qu’elle est le patrimoine à protéger. Tout le monde est aujourd’hui convaincu par exemple que le centre ville est un joyau à préserver. Par contre, le débat s’oriente autour du dilemme de la croissance urbaine. La ville est dans l’obligation de répondre à ce défi perpétuel. La formule la plus intéressante serait celle de la souplesse entre ces deux notions. Le tout est de permettre le développement de la ville tout en protégeant son patrimoine. C’est aux promoteurs d’être suffisamment imaginatif pour concilier les deux volets qui font l’identité de Casablanca. Il nous faut moins de passion et plus de pragmatisme pour trouver l’équilibre.

Vous évoquez l’identité de la ville, mais n’est-elle pas en train de changer ? L’idéologie conservatrice qui souhaite exclure toute trace venue de « l’étranger » ne s’immisce-t-elle pas dans l’orientation de Casablanca ?
Il y’a toujours une évolution des approches. En effet, au cours des années 1980, 1990, l’idée d’un rejet du patrimoine colonial était très forte. Je pense qu’elle l’est beaucoup moins aujourd’hui. Cela est du en grande partie aux changements de mentalités à travers le renouvellement des générations. Les approches diffèrent avec le temps. Ce qui semble obsolète aujourd’hui, comme le quartier Hay Mohammedi, fera incontestablement partie de l’Histoire de Casablanca dans vingt ans. Aujourd’hui, n’importe quel passant considère l’avenue Mohammed V comme un repère important de l’histoire. Ce n’était pas le cas il y’a une quinzaine d’années. Cette évolution est également perceptible dans le domaine scientifique de la ville. Les conventions sur la préservation tiennent aujourd’hui compte du patrimoine immatériel par exemple.

Propos recueillis par Sami Lakmahri

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