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Kahina, la mystérieuse reine guerrière – Zamane

La Rédaction par La Rédaction
27 avril 2020
dans DOSSIERS, LA GRANDE ENIGME, Slider
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Insoumise et charismatique, Kahina la berbère a presque changé le cours de l’Histoire en freinant l’avancée des arabes omeyyades lors de l’expansion islamique en Afrique du Nord, au VIIe siècle. Son épopée reste pourtant en grande partie méconnue.

Kahina l’insoumise et son destin tragique ont inspiré nombre de romanciers. L’écrivain algérien Kateb Yacine lui a dédié un poème-hommage dans son recueil La guerre des deux mille ans, et nombre de romancières et essayistes féministes se sont approprié la figure de la Kahina pour sa charge symbolique, la décrivant comme l’une des premières féministes de l’Histoire. Huit siècles avant Jeanne d’Arc, cette chef berbère a dirigé des armées contre l’envahisseur. Une femme dans un monde d’hommes, une femme guerrière qui a tenu en échec les troupes arabes pendant plusieurs années.
Nous sommes au VIIe siècle, l’empire byzantin affaibli est vulnérable tandis que la dynastie omeyyade progresse. Son objectif ? Conquérir et islamiser l’Afrique du Nord occupée par les Byzantins et peuplée par des tribus berbères. En 688, le général arabe Hassan Ibn Nouaman El Ghissani entre à Kairouan et, de là, il fond sur Carthage d’où il chasse les derniers Byzantins. Mais à l’est, dans la région montagneuse des Aurès, une femme se dresse. Du haut du Rocher des Aigles, un pic à Thumar (capitale de l’Aurès), elle entre en rébellion contre l’envahisseur arabe. Cette femme, c’est la Kahina. Elle est le dernier obstacle qui se dresse encore contre l’avancée des musulmans vers l’ouest.

De l’Histoire à la légende
S’appelait-elle Diyha, Dayha ou Damina ? On ne sait pas… L’Histoire n’a retenu que son surnom : El Kahina, ce qui signifierait « prophétesse », « prêtresse » ou « sorcière », car on lui prêtait le pouvoir de lire l’avenir. Dans son Histoire des Berbères, Ibn Khaldoun évoque ses « connaissances surnaturelles que ses démons familiers lui avaient enseignées ». La Kahina aurait-elle été diabolisée par certains historiens arabes ? C’est en tous cas la thèse de certains analystes contemporains. C’est aussi celle de l’auteur Kateb Yacine, qui prête à la reine des Berbères ces paroles : « Les Arabes m’appellent Kahina, la sorcière. Ils savent que je vous parle, et que vous m’écoutez … Ils s’étonnent de vous voir dirigés par une femme. C’est qu’ils sont des marchands d’esclaves. Ils voilent leurs femmes pour mieux les vendre. Pour eux, la plus belle fille n’est qu’une marchandise. (…) II ne faut surtout pas qu’elle parle, qu’on l’écoute. Une femme libre les scandalise, pour eux je suis le diable ».

Alors que sait-on vraiment de la Kahina ? D’abord qu’elle était une Berbère zénète (une tribu également appelée Zenata) des Aurès (du tamazight « awras », signifiant « massif »), une région qui s’étendait du nord de l’actuelle Algérie à la pointe Est de la Tunisie actuelle et à l’ouest de l’actuel Maroc jusqu’à la Moulouya. La Kahina appartenait à cette terre du Maghreb Oriental, peuplée depuis la Préhistoire par des tribus berbères. Cette terre, c’est l’antique royaume de Numidie. La Kahina (dont la date de naissance n’est pas connue) serait la fille unique de Tabat Ibn Tifan, seigneur de la puissante tribu des Jarawa, une tribu qui selon Ibn Khaldoun aurait fourni des chefs à tous les Berbères des Aurès. Descendante d’une très ancienne lignée amazighe, la Kahina a succédé à Koceila, mort au combat dans une bataille contre les successeurs du général arabe Oqba. Son pouvoir lui fut vraisemblablement attribué par un conseil de tribus, ce qui était courant à l’époque.

Guerrière et stratège
Une chose est sûre, la Kahina maîtrisait parfaitement l’art de la guerre. Cavalière émérite, elle tirait à l’arc et maniait la lance. Pendant que Koceila et son armée berbère affrontaient les forces arabes autour de Kairouan, la Kahina attendait, observait et galopait sur son cheval barbe, sillonnant les Aurès, du mont Chélia aux forêts de cèdres de Belezma (au nord-est de l’Algérie actuelle). Perpétuellement menacées, les tribus berbères devaient se déplacer en permanence et se cacher dans les vallées étroites et le paysage tourmenté des Aurès.

Nommée chef par un conseil de tribus pour succéder à Koceila, la Kahina commence son combat en fédérant les Berbères dans une alliance contre les arabes. Avant de brandir le cimeterre, elle doit convaincre, faire adhérer et unir. Avec éloquence et fermeté, elle organise un regroupement des tribus en s’appuyant sur le soutien des Jarawa et des Banou Ifren. Après avoir rassemblé ses troupes, elle les galvanise et les prépare au combat. Son adversaire sera le général arabe Hassan Ibn Nouaman El Ghissani, qui entre au Maghreb en 693. Sa mission : briser la résistance de la rebelle. Ayant confiance en ses forces, il part à l’assaut et affronte la Kahina dans le Constantinois, près de la rivière Miskiyâna (entre Tebessa et Aïn Beïda, à la frontière entre l’Algérie et la Tunisie). C’est la première bataille de la Kahina. Et elle la gagne. En véritable stratège, elle a dissimulé une partie de son armée pendant la nuit, pour prendre en embuscade les troupes arabes. Au crépuscule, l’amazone berbère peut crier victoire. Son armée a mis en déroute les forces arabes qui se replient en Tripolitaine (province occidentale de l’actuelle Libye). Grâce à son esprit stratège, appuyé par la force des cavaliers Banou Ifren, la reine des Aurès a écrasé l’armée omeyyade. Passant en revue ses prisonniers, la Kahina identifie Khaled Ibn Yazid, le neveu du général Hassan Ibn Nouaman. Magnanime, ou peut-être simplement émue par la beauté et la jeunesse du prisonnier, la Kahina décide non seulement de lui laisser la vie sauve mais, suivant une vieille coutume berbère, l’anaïa (protection), elle l’adopte alors qu’elle a déjà deux fils : Ifran et Yezdigan.
Après cette victoire, la Kahina sait qu’elle ne bénéficiera que d’un court répit. Sur le champ de bataille, elle a lu la détermination dans le regard du général Hassan Ibn Nouaman. Il reviendra… plus fort. Sur son cheval barbe, elle contemple le relief tourmenté des Aurès, pensant à cette Arabie lointaine dont les têtes multiples repoussent à mesure qu’on les coupe, telle l’Hydre de Lerne. Elle attend le deuxième choc et surtout elle sait qu’elle ira jusqu’au bout. De son coté, en Tripolitaine, le général arabe réorganise son armée, qui se voit renforcée par de nouvelles troupes que lui expédie le calife. La même année, en 693, il repart en campagne contre la Kahina. La «prophétesse» est aux portes du Sahel, à Thysdrus (aujourd’hui El Jem, ville située au sud de la Tunisie), une cité antique célèbre pour son amphithéâtre, l’un des plus grands de l’empire romain. Surveillant l’approche du général arabe, elle n’aurait pas hésité à pratiquer la politique de la terre brûlée, incendiant sur son passage pâturages, bocages, villages et hameaux, forêts, palmeraies et oliveraies. Difficile de démêler le vrai du faux : selon les historiens Ibn Khaldoun, Ibn El Athir mais aussi Gautier et Le Bayan, la Kahina aurait donné l’ordre de brûler les terres, ne laissant sur son passage que ruines fumantes, et ce tandis qu’elle battait en retraite vers Tabarka (ville côtière située à quelques kilomètres de la frontière algéro-tunisienne et à 150 km de Tunis). Cette thèse est contestée par certains historiens contemporains, qui avancent qu’elle aurait eu pour but de discréditer la reine berbère. Des villes et des villages auraient certes été brûlés, mais cela s’expliquerait non par l’invasion arabe, mais par les affrontements entre Byzantins et Berbères, voire entre Berbères nomades et sédentaires. Reste que pendant plusieurs années, la Kahina et ses troupes résistent à l’offensive arabe, aidés par leur excellente connaissance du terrain et la qualité de leur cavalerie.
Poursuivie par la puissante armée arabe, abandonnée par certaines tribus qui se soumettent à Hassan, la Kahina sent la fin approcher. En mère, elle veut d’abord protéger ses deux fils, Ifran et Yezdigan. Elle leur ordonne de rejoindre, avant la bataille, le camp de l’armée musulmane et de se convertir à l’islam. Désormais, la Kahina est seule. Même son fils adoptif, Khaled Ibn Yazid, la trahit : depuis quelque temps déjà, il fournit secrètement des informations stratégiques à son oncle, le général Hassan Ibn Nouaman. En 702, ce dernier saisit l’occasion de lancer un nouvel assaut contre les derniers fidèles qui obéissent encore à la « prophétesse ». Il s’élance vers Thydrus, où la Kahina s’est repliée, traversant un paysage lugubre de sable et de cendre où flottent encore des odeurs de bois et de laine calcinés. Les parcs à moutons, principale richesse du royaume, forment des entassements de chair grillée.

L’assaut final et la dernière bataille
Déterminé à se venger de la cuisante défaite que la reine berbère lui a infligée, Hassan Ibn Nouaman n’a qu’une idée en tête : anéantir la Kahina et avec elle la rébellion berbère. Renseigné par son neveu, le fils adoptif de la Kahina, il sait qu’elle ne dispose plus que d’une petite garnison et donne l’ordre à son état-major d’adresser des sommations aux assiégés avant de monter à l’assaut.

La dernière bataille se déroulera en 702, à Tabarka (ville côtière du nord-ouest de la Tunisie, à quelques kilomètres de la frontière algéro-tunisienne). Aussi déterminée que le général arabe, prête à mourir pour sa cause, pour sa terre et pour son peuple, la Kahina aurait surgi de sa cache, chevauchant sa monture barbe, le cimeterre brandi. Le combat est acharné mais déséquilibré. Epuisée, la reine des Aurès  vacille et chute. Elle est à la merci de son adversaire. Le général arabe pointe sa lame sur la poitrine de la femme et d’un geste sec, il plante son cimeterre dans le cœur de la Kahina. On raconte qu’il se serait écrié : «A cette reine exécrable, il faut une sépulture immonde», suggérant la fosse aux ordures. Quelques protestations auraient alors fusé, émises sans doute par Khaled, le neveu du général. On l’imagine rappelant à son oncle vainqueur que la Kahina haïssait les Arabes certes, mais qu’on ne saurait lui dénier une certaine grandeur d’âme. Le général aurait alors tranché le cou de l’insoumise. Selon certains, sa tête a été envoyée comme trophée de guerre au calife Abd el Malik. D’autres avancent qu’elle aurait été jetée dans un puits, au lieu dit Bir-el-Kahina (le puits de la Kahina). Selon d’autres sources, ce puits serait à Bir-el-Alter, au sud de Tebessa (ville algérienne située à la frontière avec la Tunisie). Avec la mort de la Kahina, la voie vers l’Atlantique et l’Andalousie est ouverte aux Arabes. Ces derniers réclament alors aux Berbères douze mille cavaliers, dont le commandement sera confié aux deux fils de la guerrière, Ifran et Yezdigan. La Kahina aura lutté jusqu’à son dernier souffle. Elle aurait pu changer l’Histoire…

Par Yasmina EL Kadiri

 

Tags: Berbèresla kahina
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Commentaires 15

  1. rbati says:
    12 ans ago

    elle s’appelait pas kahina mais dihia, elle est pas berbère mais amazigh, elle n’était pas à la tête de quelques tribus berbères mais régnait sur l’Afrique du Nord.
    respectez l’authenticité des faits historiques svp

    Répondre
  2. Un amazigh, ou berbère si vous préferez. says:
    12 ans ago

    Kahena, Kahina, ou bien encore Kahyna est le surnom qu’on lui attribue le plus, dire que c’est un manque d’authenticité relève d’une ignorance prononcée de votre part, @Rbati, car tous les ouvrages y font référence, et font référence aussi que sont vrai nom est Dihya.
    Berbère, c’est en français, qui veut dire Amazigh, dans la langue éponyme. Quereller sur ça c’est vraiment des bagatelles.

    Répondre
  3. kahina says:
    12 ans ago

    Je sais pourquoi je suis comme cela, mon sang brule..
    les arabes ont enseigner aux berbères de traiter les femmes comme des chèvres pour contrôler les berbères tout comme ils ont retirer les chevaux car ils étaient tres bons chevaliers..

    Répondre
  4. ChaouiAmazigh says:
    10 ans ago

    good !

    Répondre
  5. Raouf Oufkir says:
    10 ans ago

    Tome I : « Kahena la Princesse Sauvage » et Tome II : « Kahena la Reine Guerrière » aux éditions Flammarion. ( Auteur : Raouf Oufkir)

    Répondre
  6. Héros says:
    10 ans ago

    Kahina ou Dahya, le symbole de l’Homme libre qui défende inexpiable pour sa terre, ses mœurs et sa religion sans craindre personne envers l’envahisseur caché derrière le mot Dieu.

    Répondre
  7. Massi says:
    8 ans ago

    j’habite le village de Baghai , chez c’est une sacrilège de dire Kahina. Quand ma grand mère nous parle de cette grande femme elle disait toujours : Yemma.

    Répondre
  8. Le srviteur says:
    8 ans ago

    Bien fait pour elle . Ainsi est le mérite de ceux qui inventent les mensonge sur l’éternel . Sans les efforts de ces Califs , nous ne connaîtrions rien a propos de cette belle religion « L’Islam » . Nous serions toujours dans les ténèbres du polythéisme

    Répondre
  9. Abdel says:
    8 ans ago

    Pas mal de contradictions dans cet article… arrêtez de vous inventer une histoire, les arabes n ont jamais rien imposé aux bérberes et se sont appuyer sur eux et surtt les ont libérer du joug des byzantins preuve en est le commandement des armées a été confié à des bérberes…

    Répondre
  10. Yasmi says:
    8 ans ago

    L’Amour s’écrit sur le sable et s’efface. Pour la guerre c’est dans le marbre que les humains aiment le graver. Heureusement, mon coeur est de sable fin…

    Répondre
  11. Philippe TRECA says:
    8 ans ago

    Cette épopée de Dihya est une belle résistance des Berbères ( Amazigh) à l’invasion des Arabes vers l’Ouest , laquelle se termina avec l’arrêt donné par Charles Martel en France à Poitiers en 732 … 1300 ans plus tard , l’expansionnisme arabe reprend de plus belle mais sous couvert de la Tikhia … ,ce qui est moins honorable et beaucoup plus dangereux .

    Répondre
  12. toto says:
    8 ans ago

    Les arabes ne sont pas arrivé avec l’islam, la conquète islamique est un mythe, l’islam est arrivé après. L’histoire de l’islam est remplie de mensonges, commençant par la mecque où il n’y a aucune trace de son existance avant l’an 720, aucune carte ne la mentionne et il n’existe aucune ruine de la ville pourtant censée avoir été crée il y a plus de 4000 ans par Ibrahim (encore un mythe d’un fou maltraiteur d’enfants.)

    Répondre
  13. gege says:
    7 ans ago

    bonjour, j’aimerais juste savoir qui a fait ce tableau, merci.

    Répondre
    • Roulman D'Tambouw says:
      6 ans ago

      Donatello en 1788

      Répondre

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