L’insurrection de l’ex gouverneur de Ksar Essouk, Addi Ou Bihi, et son procès houleux restent des événements complexes, voire énigmatiques. De nombreuses zones d’ombre planent toujours sur cette rébellion qui pose les premiers jalons du « berbérisme ».
Au lendemain d’un voyage privé du roi Mohammed V en Italie, le Maroc a été confronté à l’une des plus graves crises qu’il a eu à affronter, à l’orée de l’Indépendance. Il s’agit de ce qui était appelé le soulèvement de Addi Ou Bihi, ancien gouverneur de Ksar Essouk (Errachidia actuellement) le 18 janvier 1957. Un Conseil des ministres s’est tenu le mardi 22 janvier, présidé par le prince héritier Moulay Hassan, qui assume, en vertu d’un communiqué du Palais Royal, les prérogatives du roi pendant son absence…
Par Hassan Aourid
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Les berbères, les wallons, les corses, les Crétois, les ….Tous unis dans une même passion: l’amour des autres, avec le respect de chacun!!