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Les troupes nord-africaines en Indochine – Zamane

La Rédaction par La Rédaction
16 juillet 2020
dans DOSSIERS, Slider
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Effectifs
Troupes d’élite de la France Libre de 1943 à 1945, auréolées de gloire lors des campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne, les régiments de tirailleurs marocains ont connu un taux de réengagement important après la fin de la guerre, qui coïncide avec le début des opérations de pacification en Indochine. Dès 1946, 15 000 tirailleurs démobilisés l’année précédente signent leur contrat de réengagement. En 1948, les soldats d’origine nord-africaine (Marocains, Algériens et Tunisiens) représentent 11,22 % de l’effectif total du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient, avec plus de 13 000 hommes sur le terrain. Le chiffre montera à 26,66 % en 1952, et 27,72 % en 1953. En 1954, lorsque survient la fin des hostilités, on compte près de 35 000 Nord-Africains en Indochine.

Motivation
Réputés pour leur férocitéet leur adresse au tir, les Marocains affluent en Indochine, à la fois du fait de leur goût des armes, de la quête d’aventure et des possibilités limitées d’embauche à leur retour au Maroc. La carrière militaire au sein de l’armée française, bien qu’elle offre peu d’opportunités d’accéder au rang d’officier (0,3 % du total en Indochine), demeure prisée parmi les guerriers du djebel. C’est pourquoi, de toutes les unités du CEFEO, ce sont celles des tirailleurs marocains qui cumulèrent les temps de séjour les plus longs : 36 % d’entre eux accomplirent 25 à 36 mois de présence en Indochine, tandis que la majorité des métropolitains, Algériens et Africains y demeuraient en général de 16 à 24 mois. Ce sont également les Marocains qui contribuèrent à fournir le plus grand nombre d’hommes aux contingents nord-africains (58,5 %, contre 37,5 % d’Algériens et 4 % de Tunisiens).  D’après Michel Bodin, auteur de Soldats d’Indochine 1945-1954 (L’Harmattan, 1997), malgré la misère générale du Nord-Vietnam et le coût élevé de la vie, « les Nord-africains en Extrême-Orient menaient une vie plus facile qu’en Afrique du Nord. Beaucoup y faisaient des économies pour préparer leur vie au retour. Quelques-uns rêvaient d’acheter un petit commerce, d’autres pensaient acquérir du matériel pour travailler la terre. L’on comprend ainsi l’attrait que pouvait exercer la vie militaire sur des gens pauvres, d’autant que les recruteurs faisaient appel au goût de l’aventure et du voyage hors du Maghreb, à la conception du paradis musulman évoquant l’Indochine comme un pays vert aux filles faciles ». En 1950, un tirailleur nord-africain de 2e classe gagnait 275 piastres mensuels au Tonkin, une somme rondelette dont une partie était envoyée aux familles dans le Maghreb.

Etats d’âme
Portés sur les armes, en quête de prestige et de reconnaissance, les tirailleurs n’aimaient rien moins que la vie au grand air et le mouvement. A contrario, ils honnissaient la vie en poste. « Mal adaptés aux combats en forêt où ils se sentaient épiés et guettés, ils se faisaient mal à la Haute-Région (zone de Cao Bang ou de Lai Chau) », précise Michel Bodin. Comme l’explique le lieutenant Jacques Jaubert, tant qu’il s’agissait d’aller de l’avant, les tirailleurs étaient les meilleurs soldats du monde, féroces et courageux. Lorsqu’il fallait battre en retraite, en revanche, le désarroi et la désorganisation pouvaient transformer un repli stratégique en déroute.

Pertes
Les troupes nord-africaines payèrent un lourd tribut au conflit. Sur les 40 000 morts du Corps expéditionnaire, on compte 8350 Nord-Africains. 6695 ont été faits prisonniers ou portés disparus, présumés prisonniers, durant la guerre d’Indochine. 3369 ont été libérés, pour un taux de décès de 49,7 % en captivité.

Etrillé à Dong Khé en mai 1950, le 8e RTM sera englouti dans le désastre de la RC4 en octobre suivant. La disparition tragique de son chef, le commandant Arnaud, ainsi que de 11 de ses officiers et de 330 hommes de troupe, s’ajoutant aux disparus du printemps, sonnera le glas de cette unité débarquée à peine un an plus tôt, le 7 mai 1949, avec 894 hommes de troupe à Haïphong. L’unité sera dissoute le 10 mai 1951, avant d’être reconstituée plus tard, le 1er octobre 1954, à partir de trois bataillons de marche du 1er RTM. Le 8e RTM sera le dernier régiment marocain à quitter le Vietnam en 1955 pour être dissout à son retour au Maroc. Beaucoup de ses soldats choisiront l’année suivante d’intégrer l’armée marocaine nouvellement créée. 

Par la rédaction
Lire la suite de l’article dans Zamane N°17

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