Avant l’or, d’autres matériaux attestent d’un échange précoce entre le Maghreb et la région subsaharienne. Dans la protohistoire, l’ivoire notamment circule à travers ce qui n’était pas encore vraiment un désert tel que connu aujourd’hui. Mais il faut attendre l’antiquité et les activités commerciales entreprises par les Phéniciens (4000 ans avant JC) pour faire de la région un haut lieu de transit commercial en méditerranée. Les historiens ne sont pas unanimes quant à l’utilisation de l’or au Maghreb à cette époque, mais l’hypothèse de sa circulation entre les peuples locaux libyques (amazighs antiques) et les marchands phéniciens puis carthaginois demeure plausible. Pour une utilisation massive de l’or à cette époque, il faut se rendre beaucoup plus à l’Est, dans l’Egypte des pharaons. Mais avec le temps, et surtout l’arrivée des romains sur les terres de l’actuel Maroc vers 40 après JC, la recherche de l’or devient une priorité. Les troupes de Rome savent déjà que leur quête doit les mener vers le sud. C’est d’ailleurs à eux que l’on doit l’introduction du dromadaire dans la région, qui devient le seul moyen d’établir la liaison avec le sud du Sahara. Ils poussent l’aventure jusqu’aux rives du Rio de Oro (Oued Ad-Dahab), qui ne porte certainement pas son nom par hasard.
Aucun Résultat
View All Result
La famille sultane, ou royale depuis sidi Lyautey, est d’origine subsaharienne, métissée avec des juifs, des sous arabes et des européens (espagnoles, portugais, allemands ou français).
Sidi Lyautey a semé sa graine (comme Franco), il a épousé plusieurs femmes dont une marocaine.
La majorité des marocains sont noirs comme Hassan II, mais sont fils est de mère blanche (Berbère).
C’est pourquoi ont dit qu’ ils négrifiés, tout en se judaïsant pour enrichir les bordels israéliens.