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Sociétés musulmanes, réveillez-vous !

La Rédaction par La Rédaction
13 novembre 2017
dans OPINIONS, TRIBUNES
3
Arab leaders pose for a group photo during the Arab League summit in the Jordanian Dead Sea resort of Sweimeh on March 29, 2017.
Arab leaders are set to meet in Jordan for their annual summit with no expected breakthrough on resolving conflicts or "terrorism" in the region. / AFP PHOTO / Khalil MAZRAAWI

Arab leaders pose for a group photo during the Arab League summit in the Jordanian Dead Sea resort of Sweimeh on March 29, 2017. Arab leaders are set to meet in Jordan for their annual summit with no expected breakthrough on resolving conflicts or "terrorism" in the region. / AFP PHOTO / Khalil MAZRAAWI

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Ce qui se passe dans les pays musulmans ne laisse personne indifférent. Nous avons l’impression d’être installés dans une sorte de chaos perpétuel, apocalyptique, entaché de terrorisme, de violence, d’insécurité et de conflits…

Les conséquences de cette situation font que notre présent est sérieusement ébranlé, notre avenir compromis et l’inquiétude ne cesse de grandir parce que les armes ne se taisent plus, la mort se banalise, le terrorisme est de plus en plus sanguinaire ; il frappe quand il veut, là où il veut. La désintégration totale de certains Etats (Libye, Syrie, Irak) et la fragilisation d’autres (Algérie, Tunisie, Egypte, Yémen) ont placé la région euro-méditerranéenne dans une crise inextricable et une incertitude totale, lesquelles sécrètent une angoisse infinie. Et alors, l’esprit cherche la sécurité psychique, soit en se référant à son identité ethnique ou religieuse, puisque le péril est censé venir de l’extérieur, soit à une promesse de salut qu’apporte la foi religieuse.
Jamais la question des pays musulmans, et plus profondément encore celle de l’islamisme galopant, avec tout ce qu’il engendre comme dangers et peurs, n’ont été posées avec autant d’acuité que ces temps-ci, où l’islamisme est considéré comme une menace pour l’équilibre régional et mondial, pour la paix et la sécurité régionales. Il est effectivement au cœur des polémiques et des critiques acerbes. D’abord, par les musulmans eux-mêmes, qui ne comprennent pas ce qui leur arrive et ne savent plus comment s’en sortir. Les plus jeunes sont peut-être plus inquiets que leurs aînés et doivent certainement se poser deux questions au moins : celle de la régression des pays musulmans et de leur incapacité à produire un projet de société. Ensuite, par les non-musulmans qui se font de plus en plus une image négative et brouillée de l’islam. La situation n’est pas nouvelle, elle remonte à des siècles déjà. Simplement, dans la prolifération d’une littérature foisonnante, souvent très opposée l’une à l’autre, et d’une diversification des courants de pensée et d’interprétations contradictoires, de jour en jour, les facteurs de désagrégation ne font que s’amonceler. L’islam est devenu l’objet de discorde et d’affrontements parfois très violents entre Etats et communautés, intégristes et démocrates, modernistes et traditionnalistes, sociétés et Etats. En tout cas, au lieu de rassembler et de relier, il divise et désagrège. Cette situation est aggravée par le désordre qui caractérise la pensée et la réflexion, où chacun y va de son niveau mental et culturel, de ses motivations et de son affiliation, de son appartenance communautaire et tribale. Les lectures simplistes et réductrices foisonnent et font bruit sur les sites Internet, les réseaux sociaux et les chaînes satellitaires. Chacun peut s’autoproclamer savant ou érudit dès lors qu’il est capable de répéter et de reproduire ce que les autres ont dit avant lui. Les portes sont ouvertes à tous les délires et à tous les dires en s’inscrivant dans la droite ligne de la radicalisation de la pensée telle qu’elle a été instaurée par le wahhabisme. Le bilan de cette idéologie dogmatique et puritaine est en effet très lourd en termes d’aliénation des esprits, de fabrication du terrorisme, matériel et intellectuel, et de régression théologique. L’idéologie de Daech s’inscrit dans le prolongement de cette mouvance et elle est même allée plus loin que les enseignements appris. Le disciple a dépassé le maître en horreur et en cruauté. Dire que l’islam a toujours été instrumentalisé à des fins de domination et de servitude, c’est une lapalissade. On s’en sert encore aujourd’hui pour imposer un modèle de légitimité et d’exercice du pouvoir. Difficile d’établir une doctrine politique dans l’aire musulmane et de trouver des référents rationnels de la légitimité politique, parce que la conception religieuse de la politique est surannée. Ses implications dans la vie actuelle sont révolues. Ce n’est pas une raison de s’enfermer alors dans le patrimoine religieux lorsqu’il s’agit de la politique et du droit, de l’économie et de la géostratégie. Ces domaines relèvent naturellement de l’ordre de la rationalité scientifique, politique et technique. L’aspect formel et technique de l’organisation de la Cité est une entreprise neutre, exclusivement humaine. Il en résulte qu’il ne peut pas y avoir de politiques publiques inspirées d’un message divin. Celui-ci n’est ni un programme, ni une méthodologie et encore moins une science de gouvernance. Il gère la croyance et les principes de vie en commun. La modernité est issue justement de cette rupture référentielle avec la religion pour laisser l’esprit humain, souverain et critique, agitateur d’idées et de savoir-faire. Il faut bien rappeler cette idée toute simple que sans science et sans connaissance le monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. Or, le savoir musulman est toujours englouti dans des questions de morale, d’interdits, de répétition des rites et des traditions, de halal et de haram. Et toute réflexion libre dépassant le cadre défini et traitant certaines problématiques sociétales (femme, héritage, avortement, sexualité, homosexualité, mariage des mineurs, prière, ramadan…) peut exposer son auteur à de lourdes menaces, y compris de mort.
L’islamisme rampant a secrété de nouvelles attitudes, de nouvelles pratiques et de nouvelles interdictions : l’idéologie du halal par exemple, contre le haram, fait figure de séparation étanche entre musulmans et non-musulmans, croyants et non-croyants, entre « eux » et « nous », consistant en la reproduction fidèle des modes de vie d’un autre âge. Elle se développe de plus en plus grâce à la régression scientifique, à l’effritement du champ politique, au recul des élites modernes et des intellectuels. Le débat dominant, très rituel et formalisé, ressemble à un vacarme assourdissant où chacun détient la vérité, laquelle peut justifier tous les crimes et tous les dépassements.
Seules les valeurs de modernité fondent notre civilisation contemporaine. Ces valeurs sont celles des droits de l’Homme et de la dignité humaine, de l’Etat de droit, de la démocratie et des libertés fondamentales. L’humanisme transcende toutes les religions et chacun de nous est libre de croire ou de ne pas croire.
Le drame de l’islam réside aussi dans sa politisation manichéenne par les Etats et par les intégristes de tous poils, et surtout dans le discours martial émis avec émotion et incantation. Il faut en finir avec «la pensée magique», s’affranchir des représentations superstitieuses et caricaturales, et poser avec force les notions clés de l’individu, de la liberté de conscience, de la dignité, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la femme, de la tolérance, de l’interculturalité et de l’altérité.
Ce qui a été dit ou révélé des siècles auparavant et transmis jusqu’à nous par une pléiade de «diseurs» n’est pas forcément valable aujourd’hui. L’histoire est en mouvement perpétuel : intérêts et passions, vices et vertus, faire et défaire, protéger et corriger, lutter et se résigner. Le jeu est sans fin. Continuer à se positionner par rapport a un « âge d’or » hypothétique est une chimère, et si cet âge d’or a existé réellement dans le passé, on aurait tout le mal du monde à le projeter sur l’avenir, à sortir des logiques patriarcales, à dépasser les rites et les anachronismes, avec les conséquences politiques et économiques que nous connaissons.
Tout cela pour dire que la réflexion sur les questions de développement, de changement et des transformations sociales et politiques doit être abordée loin de toute religion. Il faut déplacer les études du «sacré » vers d’autres horizons cognitifs et porteurs de sens. Le recours aux disciplines des sciences humaines et sociales est la seule voie pour éclairer les sens et aiguiser le niveau des consciences. Il est temps pour les vrais intellectuels, les défricheurs, les bâtisseurs, les laïques, les fabricants du commun de se faire entendre. Il est temps aussi de mettre de l’ordre dans nos écoles, nos universités, nos médias, nos lieux de prêche et de prière.

Ali Sedjari
Professeur à l’Université Mohammed V

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Commentaires 3

  1. Oceane says:
    8 ans ago

    Il est temps de passer a un projet de societe en phase avec les attentes de notre siecle, de notre economie et de notre jeunesse. Ramener un pays au 7eme siecle ne lui apportera rien. Alors que tous ces pretendus religieux et religieuses prennent un aller simple pour Kaboul et le maquis des talibans. Qu’ils nous epargnent leur presence au Maroc car nous voulons vivre dans la realite, la liberte, le choix, la critique constructive, la diversite culturelle, le respect de l’autre, la modernite…bref, tout ce que ces etres souhaitent aneantir et remplacer par l’uniformisation de la pensee, des habitudes, de l’habit et de la cruaute car la pitie et la misericorde n’ont jamais guide leurs pas.

    Répondre
  2. Med says:
    8 ans ago

    Une christianisation de l’Islam!, c’est en somme ce que vous voulez, non?

    Répondre
  3. Sabri says:
    8 ans ago

    Pour cela je prpose en meme temps d’envoyer une petition a la gcc pour epargner a ces regions l’irreparable et aussi d’inciter les pays de la ligue arabe de faire quelque chose dans ce sens.

    Répondre

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