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Il était une fois le FUS

La Rédaction par La Rédaction
29 janvier 2019
dans LE MAG, SPORT
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Vainqueur de la Coupe du Trône et de la Coupe d’Afrique, l’équipe r’batie est désormais l’une des plus populaires du Maroc, après une longue traversée du désert.

L’image que l’on a actuellement du FUS est celle d’un petit Poucet boudé par son public. Un club de foot qui, après avoir lutté l’année dernière en fin de saison pour ne pas retomber en deuxième division est parvenu à accomplir exploit sur exploit pour ramener la Coupe d’Afrique au Maroc, sur fond d’affaire du Sahara. Pour la petite histoire, lors du match aller de la finale de la CAF, les supporters venus en masse au stade se sont levés comme un seul homme pour chanter l’hymne marocain et crier « Sahara maghribia », pendant que des arbitres algériens veillaient au bon déroulement de la rencontre. Il faut dire que, depuis sa naissance, le FUS est marqué par cet attachement patriotique à la nation.

Et le nationalisme créa le FUS
Le FUS a été fondé le 10 avril 1946 par des membres de l’Istiqlal, suite à la dissolution de l’équipe de Rabat – Salé créée en 1933. Des noms tels que Sittell Al Issaoui, responsable de la section de la Jeunesse et des Sports, ou bien encore Haj Mohamed Mghraoui, œuvrent pour la stabilisation du club dans un contexte où les autres grandes cylindrées, tels que le Stade Marocain ou bien l’Olympique Marocain, sont principalement constitués de joueurs français. Disons-le d’emblée, le FUS a incarné dès le départ un acte de résistance silencieux contre la colonisation européenne. C’est ce que nous dit Larbi Ziati, qui a intégré le cadre la direction du club en 1965 et qui l’a présidé de 1978 à 1980 : «Mon engagement au FUS dans les années 1960 est la suite logique de mon engagement militant à l’UNEM (l’Union nationale des étudiants marocains) en faveur de l’Indépendance».
Le club bénéficie d’ailleurs d’un soutien inconditionnel de Mohammed V, qui aurait insisté dès le départ pour que l’équipe r’batie s’appelle Fath Union Sport. Le mot « Fath » était très important à ses yeux et représentait le symbole de l’identité marocaine de Rabat. Mohammed V a d’ailleurs aidé le club matériellement en mettant à sa disposition l’espace tennajajte, un lieu d’entraînement situé à la médina. Il s’agissait d’un cimetière abandonné où il n’y avait plus eu d’enterrement depuis quarante ans et qui, comme l’indiquait la loi, pouvait être attribué à des associations. Cet espace a permis à des sections sportives du FUS de s’entraîner et d’avoir des champions, y compris sous le Protectorat comme ce fut le cas avec l’athlétisme. Certaines personnes qui ont vécu cette période en parlent avec beaucoup d’émotion. « Cet espace était un lieu où on pouvait venir s’entraîner tout en restant dans la médina. Je me souviens qu’à l’époque, avec mon père, pour sortir de la médina et aller sur le boulevard Mohammed V, il fallait passer devant les barrages des Français, montrer patte blanche, promettre qu’on allait rentrer le jour même. Ce lieu d’entraînement, c’était faire exister, dans la médina, une vie militante pour l’Indépendance, en la camouflant », déclare un membre du club de la première heure.

De Diûr Jamaâ à Takadoum
Pourtant, le FUS a failli disparaître en 1956, quand la plupart de ses sociétaires rejoignent le Stade Marocain. Là encore, c’est grâce à l’appui d’un membre de la famille royale, le prince Moulay Abdellah, que le club restera en activité, notamment avec le transfert dans ses rangs de Larbi Ben M’Barek surnommé « La perle noire ». Très vite, le FUS va regrouper certains grands quartiers de Rabat : la Médina, Diûr Jamaâ, Yacoub El Mansour, Takadoum (Youssoufia). C’est au cours de cette période que sa cote de popularité va croître, comme l’explique Aziz Daouda, consultant à Radio Mars : « Le FUS est devenu très populaire à ce moment-là. Les gens de la médina et de Diûr Jamaâ, qui est par la suite devenu le fief du Fath, ont commencé à venir au stade. Regardez d’ailleurs son architecture : vous y verrez quatre générations de constructions. Car il y a toujours eu de plus en plus de monde et il a fallu régulièrement l’agrandir ».
Les liens du club avec l’Istiqlal lui ont valu énormément de succès dans les quartiers, sans parler du fait que des joueurs rbatis y évoluant amenaient avec eux au stade toutes leurs connaissances. Toutefois, cette popularité va s’estomper au cours des années 1980. Larbi Ziati nous livre les raisons de ce déclin : «Au début, il y avait osmose entre le FUS et ses supporters. Mais, dans les années 1980, on n’a pas poursuivi l’agrandissement de Rabat et on n’est pas arrivé à faire en sorte que les gens des nouveaux quartiers s’identifient au club. De plus, beaucoup de joueurs de cette époque venaient de Casablanca et pas des quartiers dans lesquels le FUS est populaire. Ajoutez à cela un passage à vide au niveau des résultats et des comités directeurs qui n’ont pas su se rendre sympathiques et vous comprendrez pourquoi le FUS peine aujourd’hui à avoir un public». Aziz Daouda va dans le même sens : « C’est un problème sociologique qu’il faut traiter sociologiquement. Le club n’a pas réussi à réagir face au développement urbain de la capitale. Ce ne sont pas les FAR qui ont fait de l’ombre au FUS ou qui lui auraient piqué son public ». A cela, Taoufik, un supporter du club, ajoute que le changement de terrain, situé désormais au sein de l’immense complexe Moulay Abdellah, sur la route de Temara, n’a pas arrangé les choses. La preuve, l’année dernière, lorsque le FUS a battu le RAJA sur sa pelouse ou bien a joué un match capital contre Salé pour le maintien, il n’y avait que quelques centaines de supporters dans les gradins.

Le Fus contre-attaque
Ce déclin de popularité au profit des FAR, du RAJA ou du WAC n’a pas empêché le club de mettre en œuvre des moyens managériaux importants. Dès les années 1980, les joueurs et les entraîneurs ont des contrats avec le club, auquel ils consacrent plus de temps. Les pratiques managériales mises en œuvre à partir de 2007 par le bureau du FUS dirigé par Ali Fassi Fihri s’inscrivent dans cette culture du club fort ancienne. Et les résultats ont été au rendez-vous.

Par Jean Zaganiaris

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