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La saga de la presse marocaine (4/4)

La Rédaction par La Rédaction
29 janvier 2019
dans DOSSIERS, RECHERCHE
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Au moment d’entamer la dernière décennie du XXe siècle, la presse marocaine est à bout de souffle. La crédibilité des supports proches des partis s’est effritée et un renouveau militant semble nécessaire. C’est alors que la presse dite indépendante fait son apparition.

Le long règne de Hassan II a considérablement affaibli le « quatrième pouvoir ». La presse virulente affiliée aux partis politiques des années 1960 n’est plus qu’un vague souvenir. Une fois les partis d’opposition domptés par le régime, la presse s’est retrouvée dans l’incapacité de peser sur le champ socio-politique du pays. Entre-temps, le monarque a été pointé du doigt par la communauté internationale pour ses graves manquements aux règles élémentaires de la démocratie, notamment en ce qui concerne la liberté d’expression. A l’intérieur du pays, un renouveau de la conscience politique est en marche et l’opposition reprend espoir. Pour capitaliser sur une probable nouvelle ère, de nouveaux acteurs comptent peser pour obtenir de réels changements. Parmi eux, des journalistes. La presse non affiliée à des partis politiques voit le jour, elle est dite indépendante.
La démission de la presse partisane de son rôle d’information est l’indicateur adéquat du déclin des partis politiques marocains. En somme, les partis de tous bords utilisent leur presse écrite comme moyen de communication entre eux ou avec le pouvoir, reléguant l’intérêt pour le lectorat au second plan, comme l’explique Khalid Jamaï, ancien rédacteur en chef du journal L’Opinion, affilié à l’Istiqlal : « En près de 35 ans de carrière dans ce journal, nous n’avons jamais organisé de sondage pour satisfaire les besoins du lecteur ». A la déroute de ce type de presse, s’ajoute un mal profond que même les pays voisins ont réussi à éviter : le cruel manque de lectorat. Au-delà du faible taux d’alphabétisation, les Marocains délaissent largement les kiosques et ne lisent que très peu de journaux. Ces derniers leur rendent tristement la pareille en ne consacrant aucun effort à répondre à leurs attentes.

Premiers pas à tâtons
Bien qu’encouragée à demi-mot par Hassan II, la presse indépendante manque encore de structure et ses premiers coups d’éclat ne sont qu’épisodiques. Un des tout premiers à faire couler beaucoup d’encre n’est autre que le militant et opposant Abdallah Zaâzaâ, par l’intermédiaire de son journal arabophone Al Mouatine. La machine n’est pas encore rodée et le pouvoir manque encore d’expérience dans la gestion de ce nouveau type de presse. De fait, comme à l’époque de la presse d’opinion qui déplaît, Al Mouatine subit l’adversité. « Suite aux diverses interdictions qu’elle a subies, la série Al Mouatine, composée de douze numéros, a été en fait publiée sous quatre titres différents : Al Mouatine, Houriat Al Mouatine, Al Mouatana et Attajamouâ », nous explique Zaâzaâ. Les fameuses lignes rouges ne s’effacent pas à la première occasion venue, et le journaliste trublion l’apprend à ses dépens. Il précise les raisons de la courte vie d’Al Mouatine, qui paraîtra de juin 1991 à septembre 1992 : « Deux éléments ont été déterminants : la publication d’une lettre des disparus de Tazmamart et d’une interview de Noubir Amaoui, dont le contenu abordait la monarchie selon l’approche du « roi qui règne mais ne gouverne pas » ». Autre aspect particulièrement gênant sous Hassan II, cette fois-ci culturel, la publication de quelques pages du journal entièrement rédigées en amazigh. Driss Basri, le tout puissant ministre de l’Intérieur, revêt souvent le costume de celui de l’Information. Dans les années 1990, il est la bouche et les oreilles de Hassan II pour tout ce qui concerne le domaine de la presse. Le roi tient à soigner l’image du Maroc à travers une libéralisation toute relative de sa presse, parallèlement aux gestes politiques d’assouplissement tels que la création du Conseil consultatif des droits de l’homme (CCDH) en 1990, la libéralisation de prisonniers politiques en 1991 ou encore la Constitution de 1992, où les principes universels de liberté d’expression sont inscrits noir sur blanc. Les deux hommes savent néanmoins que le processus est long et risqué. De plus, les journalistes marocains ne se sont pas encore tout à fait mués en véritables professionnels de l’information. Les séquelles de la presse partisane se font encore sentir avec ses relents de partisanerie exacerbée. C’est presque en toute logique que la première « carte blanche » est attribuée à un patron de presse étranger, le Français Jean-Louis Servan-Schreiber. Depuis l’Indépendance, le Maroc a interdit aux étrangers d’être propriétaires d’une publication marocaine. Le cas exceptionnel de Jean-Louis Servan-Schreiber pourrait s’expliquer par sa proximité avec André Azoulay, le conseiller royal. Ainsi, en 1994, il rachète La Vie économique et inaugure la nouvelle ère de l’investigation économique, qui s’avère bien plus redoutable que les attaques politiques.

Les experts… économie
Dorénavant, et pour la première fois dans l’histoire de la presse au Maroc, le monde politique ne possède plus le monopole de l’initiative dans ce domaine. L’espace est rapidement comblé par de grands groupes économiques et financiers, de plus en plus sensibles au monde de la presse qui, dans ce contexte assoupli, pourrait finalement leur être utile. Les débuts de La Vie économique sont marqués par une liberté de ton nouvelle, où les plus virulents contestataires trouvent une tribune. Khalid Jamaï est parmi les premiers à profiter de l’aubaine. Il raconte : « Ma participation à l’aventure de La Vie économique est directement liée aux censures permanentes dont j’ai été victime au sein de L’Opinion, et ce malgré mon poste de rédacteur en chef. La répression des partis était pire que celle du Makhzen ».
La liberté politique connaît un renouveau historique et ce sont les hebdomadaires qui en profitent le plus. Parmi eux, des titres plus au moins engagés mais libérés du fardeau partisan, tels que Maroc Hebdo, La Nouvelle Tribune, La Gazette du Maroc ou encore Le Journal. Avec son titre phare Assahifa (pendant du Journal), la presse arabophone n’est pas en reste, profitant d’une plus large diffusion auprès du lectorat marocain. Pour autant, les limites fixées par le pouvoir existent toujours, et elles ne sont pas forcément là où on les attend. La hantise de la bande à Basri réside désormais dans l’investigation économique, auparavant chasse gardée de l’élite marocaine. Ce n’est donc pas un hasard si en 1997, le journal La Vie économique, pionnier dans ce domaine, est offert sur un plateau à Aziz Akhannouch, un fidèle du pouvoir et actuel ministre de la Pêche, qui est « sommé » de racheter le périodique économique. Entre-temps, de jeunes inconnus formés en économie mettent un pied dans la presse en investissant les colonnes de La Vie économique. Ils maîtrisent les rouages de la finance et ne reculent devant rien. Ils se nomment Aboubakr Jamaï, Ali Amar ou encore Ahmed Reda Benchemsi. Ils sont les nouveaux visages de la presse indépendante et dérangeante.

Palais vs journalistes
Le 14 mars 1998, l’opposant historique de gauche Abderrahman El Youssoufi est nommé Premier ministre. Une période de transition politique qui aiguise l’appétit de la nouvelle presse marocaine. Les hebdomadaires qui, il y a peu, tâtaient encore le terrain miné de la liberté d’expression, s’affirment de plus en plus. Des titres devenus emblématiques font leur apparition. Les plus fameux sont TelQuel, lancé par Ahmed Reda Benchemsi, et Le Journal Hebdomadaire des compères Ali Amar, Aboubakr Jamaï et Hassan Mansouri. La nouvelle appellation de ce support succède à celle plus courte du Journal, l’hebdomadaire fondé en 1997 et qui s’est vu interdire en 2000. Pourtant, Le Journal avait auparavant bénéficié du soutien de Hassan II en personne. D’après Khalid Jamaï, Driss Basri avait été chargé par le roi de garantir la pérennité de l’hebdomadaire, proposant même l’achat d’une imprimerie au profit de la rédaction du Journal. En réalité, la mort de la première version de l’hebdomadaire est essentiellement due aux tensions avec le parti fraîchement arrivé au pouvoir, l’USFP. La sanction est le résultat de la publication par Le Journal de la lettre de Fqih Basri, accusant le parti de gauche et ses dirigeants d’être impliqués dans la tentative de coup d’Etat de 1972. Les relations avec le Palais, occupé désormais par Mohammed VI, continuent d’être apaisées, pour le moment…
Dans une démocratie balbutiante, aucune liberté n’est définitivement acquise. La presse indépendante va rapidement en avoir la confirmation. Autour de Mohammed VI, Fouad Ali El Himma et Mohamed Mounir Majidi deviennent les symboles de la répression contre la presse écrite marocaine. Ali Lmrabet, fondateur des hebdomadaires satiriques Demain Magazine et Doumane (version en arabe) sera condamné en 2003 à une peine en appel de 3 ans de prison ferme. Le journaliste franco-marocain est accusé, entre autres, d’atteinte à la personne du roi. Ce jugement sévère trouve un écho international amplifié par la grève de la faim entamée par le journaliste, et amène Robert Ménard, secrétaire général de Reporter sans frontières (RSF), à réagir : « Comment accorder crédit à un tribunal qui doit juger « au nom du roi » des délits qui auraient porté atteinte à ce même roi ? Comment ne pas suspecter de partialité un jugement rendu par des magistrats dont l’avenir professionnel dépend du Conseil supérieur de la magistrature présidé par… le roi ? ». Ali Lmrabet sera finalement gracié en 2004, mais interdit d’exercer son métier pour une période de dix ans. Cette affaire laissera à coup sûr une trace durable sur l’évolution et l’histoire de la presse marocaine.

On achève bien les journaux
Le régime marocain, fort de son expérience de censeur, mais soucieux de son image, sait qu’il doit désormais limiter les procès pour délits de presse à l’encontre des journalistes. La nouvelle stratégie d’étranglement repose sur une mainmise économique, capable de faire pression sur la presse par voie de suppression ou de boycott de la publicité, principale manne financière des publications. Ainsi, Le Journal Hebdomadaire, asphyxié par les nombreuses dettes contractées, est saisi par les huissiers de justice en janvier 2010. D’autres publications, principalement des hebdomadaires, connaissent le même sort, notamment le pendant arabophone de TelQuel, Nichane, qui ferme quelques mois après.
Quant aux quotidiens, l’expérience du journaliste Rachid Niny reste unique dans l’histoire de la presse marocaine. Personnage au parcours atypique, il parvient à fonder le quotidien indépendant arabophone Al Massae, en 2007. Sa chronique connaît un tel succès qu’elle aurait pu, à elle seule, redonner le goût de la lecture à de nombreux Marocains. La même année, le quotidien atteint un tirage record de plus de 200 000 exemplaires. Le 28 avril 2011, soit le jour de l’attentat du café Argana à Marrakech, Rachid Niny est arrêté par la police pour  « atteinte à des corps constitués » et « atteinte à des personnalités publiques ». Ces personnalités en question ne sont autres que l’entourage proche du roi, que le remuant journaliste accuse de corruption. A ce jour, Rachid Niny n’a pas fait l’objet d’une grâce royale et croupit toujours derrière les verrous.
La saga de la presse est donc loin d’être un long fleuve tranquille. La liberté d’expression est plus ou moins respectée selon les périodes et les intérêts de la monarchie. La période actuelle n’est sûrement pas la plus rose, et ce n’est pas un hasard si le royaume se trouve aujourd’hui à la 138e place du classement annuel de la liberté de la presse publié par RSF.

2M dans le cadre
Contrairement à la presse écrite, les supports médiatiques audiovisuels n’ont connu que l’allégeance au pouvoir. Même si le projet de la seconde chaîne marocaine a été pensé à l’origine comme une entité privée et indépendante, le secteur de la télévision reste trop stratégique pour que le régime puisse se permettre un relâchement. Le taux important d’analphabétisme, ainsi que la grande passion des Marocains pour le petit écran n’ont pas servi la libéralisation des médias audiovisuels. Fondée par la holding ONA en 1989, 2M est pendant sept ans une chaîne privée accessible seulement avec un décodeur.  Au lancement, la chaîne ne se contente que de très peu d’information et fait la part belle au divertissement, tout en ouvrant le créneau du débat politique. Officiellement, l’Etat rachète l’entreprise en 1997 et acquiert 68% du capital, pour cause de difficultés financières. Dès lors, et progressivement, 2M va multiplier les rendez-vous d’information et rapidement se transformer en outil de propagande promonarchique.

Par Sami Lakmahri

Lire aussi:

> La saga de la presse marocaine (1/4)

>La saga de la presse marocaine (2/4)

>La saga de la presse marocaine (3/4)

Tags: DemainPresse MarocaineRachid NinyTelquel
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