• Contact
  • Qui sommes-nous
  • Votre Publicité
  • العربية
S'ABONNER À ZAMANE
Zamane
  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT

    Quand les Musulmans occupèrent la France – Zamane

    Le procès des aviateurs et les militaires envoyés en enfer – Zamane

    Le Maroc face aux chocs pétroliers – Zamane

    Quand le crime de lèse-majesté n’existait (presque) pas – Zamane

    Ce protectorat espagnol que l’on a «oublié» ou presque – Zamane

  • L’ÉNIGME

    Comment nos ancêtres « soignaient » la maladie mentale – Zamane

    Ce que l’échange Sebta – Gibraltar aurait pu apporter au Maroc – Zamane

    Les mystères du peuplement colonial – Zamane

    Pourquoi les Marocains ont toujours été fascinés par l’Egypte – Zamane

    Comment le Maroc a échappé aux Fatimides – Zamane

    Voyage au cœur de la Bibliothèque royale – Zamane

    Quand Tanger était la capitale officieuse du Maroc – Zamane

  • DOSSIERS
    • Tous
    • DÉCRYPTAGE
    • RECHERCHE
    • SPÉCIAL

    Frédéric Garan : «Ben Youssef ne peut pas vivre une vie heureuse à Madagascar» – Zamane

    Madagascar, acte II – Zamane

    L’exil dans l’imaginaire populaire – Zamane

    Derniers jours à Antsirabé – Zamane

    Bienvenue dans l’île de Beauté – Zamane

    1953-2023 : L’Exil de Mohammed V, 70 ans après – Zamane

    Abderrahim Benhadda : «Il y a de nombreuses zones grises dans l’histoire des relations maroco-ottomanes» – Zamane

    Mohammed VI et Recep Tayyip Erdoğan.

    Ömer Faruk Dogan : «Il existe une affection culturelle, sentimentale et religieuse entre nos deux peuples» – Zamane

    Caricature : Les Occidentaux se moquent de la «décadence» des empires chérifien et ottoman.

    Si loin, si proches – Zamane

  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS

    Jacques Chirac au Maroc, pour sa première visite officielle à l’étranger en 1995

    Vidéo : Visite officielle du roi Hassan II en République Fédérale Allemande (RFA) en 1965

    L’opposition et Hassan II

    Vidéo : Education, c’était mieux avant ?

    Vidéo : Dlimi lors de la bataille d’Amgala

    Vidéo – Hassan II fasciné par l’éloge d’un poète

    Vidéo – 1962 : Le jeune roi Hassan II célèbre aid al-Fitr

    Coupe du trône : remember 1979…

    Vidéo – La dernière grande famine au Maroc

  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT

    Quand les Musulmans occupèrent la France – Zamane

    Le procès des aviateurs et les militaires envoyés en enfer – Zamane

    Le Maroc face aux chocs pétroliers – Zamane

    Quand le crime de lèse-majesté n’existait (presque) pas – Zamane

    Ce protectorat espagnol que l’on a «oublié» ou presque – Zamane

  • L’ÉNIGME

    Comment nos ancêtres « soignaient » la maladie mentale – Zamane

    Ce que l’échange Sebta – Gibraltar aurait pu apporter au Maroc – Zamane

    Les mystères du peuplement colonial – Zamane

    Pourquoi les Marocains ont toujours été fascinés par l’Egypte – Zamane

    Comment le Maroc a échappé aux Fatimides – Zamane

    Voyage au cœur de la Bibliothèque royale – Zamane

    Quand Tanger était la capitale officieuse du Maroc – Zamane

  • DOSSIERS
    • Tous
    • DÉCRYPTAGE
    • RECHERCHE
    • SPÉCIAL

    Frédéric Garan : «Ben Youssef ne peut pas vivre une vie heureuse à Madagascar» – Zamane

    Madagascar, acte II – Zamane

    L’exil dans l’imaginaire populaire – Zamane

    Derniers jours à Antsirabé – Zamane

    Bienvenue dans l’île de Beauté – Zamane

    1953-2023 : L’Exil de Mohammed V, 70 ans après – Zamane

    Abderrahim Benhadda : «Il y a de nombreuses zones grises dans l’histoire des relations maroco-ottomanes» – Zamane

    Mohammed VI et Recep Tayyip Erdoğan.

    Ömer Faruk Dogan : «Il existe une affection culturelle, sentimentale et religieuse entre nos deux peuples» – Zamane

    Caricature : Les Occidentaux se moquent de la «décadence» des empires chérifien et ottoman.

    Si loin, si proches – Zamane

  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS

    Jacques Chirac au Maroc, pour sa première visite officielle à l’étranger en 1995

    Vidéo : Visite officielle du roi Hassan II en République Fédérale Allemande (RFA) en 1965

    L’opposition et Hassan II

    Vidéo : Education, c’était mieux avant ?

    Vidéo : Dlimi lors de la bataille d’Amgala

    Vidéo – Hassan II fasciné par l’éloge d’un poète

    Vidéo – 1962 : Le jeune roi Hassan II célèbre aid al-Fitr

    Coupe du trône : remember 1979…

    Vidéo – La dernière grande famine au Maroc

  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
Aucun Résultat
View All Result
Zamane
  • العربية

Palestine, mon amour !

mostafa bouaziz par mostafa bouaziz
9 août 2018
dans DE LA MARGE, Mustapha Bouaziz
0
9
Partages
45
VUES
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Il fut un temps où la question palestinienne était pour les Marocains une question nationale. Elle occupait et préoccupait les esprits engagés, autant que la réforme agraire, l’enseignement ou le Sahara. Le représentant de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) trônait dans tous les congrès, partisans ou syndicaux. Le drapeau de la Palestine était toujours dressé majestueusement aux côtés de notre drapeau national. Au sein des cercles de militants, des répartitions semblables à celles des formations palestiniennes se dessinaient dans le paysage marocain. Les pro-Fatah affrontaient les pro-FPLP et FDLP (mon camp de l’époque). Tout engagement, politique ou civique, ne pouvait gagner en mérite s’il ne l’était également pour la Palestine. Même le roi Hassan II était amené à s’engager auprès de l’OLP à partir de 1974. C’est d’ailleurs lors du Sommet arabe de Rabat (octobre 1974) que le roi du Maroc persuada le roi Hussein de Jordanie de la justesse de déclarer unanimement que « l’OLP est le seul représentant du peuple palestinien ». Même le grand Jamal Abdel Nasser d’Égypte n’y est pas arrivé. La rue marocaine s’enflammait pour la Palestine. Les manifestations de soutien étaient des mobilisations massives jusqu’au début des années quatre-vingt-dix. Depuis, l’intensité faiblissait et le soutien s’effritait. Que s’est-il passé ?
L’engagement pour le panarabisme n’avait plus pignon sur rue. Les rêves pour l’unité arabe et ses corollaires, comme le développement, le progrès et la résurrection du passé glorieux de la civilisation arabo-islamique se sont transformés en frustrations multiples. Ainsi, à l’enthousiasme de l’engagement pour la chose publique, se sont substitué le scepticisme et la méfiance vis-à-vis de la politique et des grands discours. Des replis identitaires se sont opérés, et les despotes locaux ont, chacun à sa manière, aiguisé des nationalismes chauvins avec leurs lots de conflits de frontières et de guerres fratricides. La Palestine perdait sa centralité dans l’imaginaire collectif et devenait une question locale, politiquement surtout, après la banqueroute de Saddam Hussein. La déstructuration profonde des représentations du monde, véhiculées par le marxisme et le nationalisme arabe, après la chute du mur de Berlin, ouvrit la voie à une errance à la fois collective et individuelle. Les restructurations et autres refondations ne peuvent se faire que suite à un long travail de déconstructions des visions et la mise en place de mécanismes de convergences. L’ébranlement des édifices despotiques par le « printemps arabe » n’était pas accompagné par une remise en cause sérieuse des fondamentaux des mentalités conservatrices. La citoyenneté, dans son acception universelle, n’est qu’un vœu qui meuble les discours. La pluralité politique, sociale et culturelle attend toujours d’être réalisée. Dans la gestion des conflits de toute sorte et en dépit de l’exhibition du vocable «bonne gouvernance », l’émotionnel l’emporte largement sur le rationnel …
L’intelligentsia palestinienne nous surprend aujourd’hui en engageant une dynamique de convergence entre le Fatah et le Hamas, après des années de déchirements et de diabolisation mutuels. La recherche d’une représentation commune de la question palestinienne, la mise sur pied de procédures concertées instituant les bases d’une légitimité populaire et démocratique augurent la possibilité d’une production du commun. Au moment où Syriens et Libyens s’entretuent, où l’armée égyptienne fait table rase des espoirs du 25 janvier 2011, et où l’armée algérienne perpétue une momie à la présidence, la quête palestinienne d’une « entente cordiale » apparaît comme une « hérésie » dans la conjoncture arabe actuelle.
Les Palestiniens étaient déjà dans ce rôle d’éclaireurs depuis la débâcle des armées arabes en 1976. Ils incarnaient alors le sursaut d’une dignité bafouée. À la fin des années 1980, l’Intifada des enfants palestiniens transcendait l’impasse de la lutte armée, ouvrant la voie aux infinies possibilités de la lutte civile. Aujourd’hui, après que le « printemps arabe » soit devenu un mirage, les frères ennemis en terre de Palestine tentent ce qui ressemblerait à une « refonte historique » du projet palestinien. Ils n’en sont qu’aux premiers pas, ceux de l’acceptation théorique d’un bon compromis. Souhaitons-leur que la mise en œuvre aille plus loin que l’implantation des premiers jalons. C’est vrai qu’ils rament à contre-courant, mais, avec les Tunisiens, ils portent tous nos espoirs !

Par Mostafa Bouaziz, conseiller scientifique de Zamane

Pour voir l'article en complet, nous vous invitons à vous abonner ou à commander le numéro de la boutique numérique via le site.
S'ABONNER Boutique
mostafa bouaziz

mostafa bouaziz

Articles similaires Articles

DE LA MARGE

L’école marocaine – Zamane

9 janvier 2023
DE LA MARGE

La Moudawana à l’épreuve du temps – Zamane

15 décembre 2022
DE LA MARGE

La rentrée culturelle et artistique – Zamane

14 novembre 2022
DE LA MARGE

Le Maroc s’embarquera-t-il dans le projet Chinois ? – Zamane

7 octobre 2022
DE LA MARGE

La jeunesse, pourquoi faire ? – Zamane

8 août 2022
DE LA MARGE

Vous avez dit Casablanca ? – Zamane

15 juillet 2022
Charger Plus
Prochain Post

Qu’est-ce que la «siba» ? - Zamane

Que faire de l’arabisation ?

Notre diplomatie est-elle défaillante ?

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Aucun Résultat
View All Result

EN KIOSQUE




logo

À propos

Zamane est un mensuel marocain principalement consacré à l'Histoire du Maroc et publié en deux versions linguistiques dont le contenu diffère : francophone, depuis son lancement en novembre 2010 et arabophone, depuis octobre 2013.

Nous suivre

Copyright © Zamane. Tous droits réservés 2018.

Aucun Résultat
View All Result

EN KIOSQUE



  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT
  • L’ÉNIGME
  • DOSSIERS
  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS
  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
Aucun Résultat
View All Result

Copyright © Zamane. Tous droits réservés 2018.