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Les Colonnes d’Hercule, naissance d’une légende

La Rédaction par La Rédaction
29 janvier 2019
dans A LA UNE, DOSSIERS, RECHERCHE
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Dans l’Antiquité, le détroit de Gibraltar était appelé les Colonnes d’Hercule. Les mythographes voyaient dans ce bras de mer une création du héros antique, tandis que les savants en faisaient un point de référence essentiel dans la représentation cartographique du monde.

Les Colonnes d’Hercule sont les deux monts qui marquent de leurs puissants reliefs l’entrée du détroit qui sépare l’Europe et l’Afrique, lorsque les navires font route vers l’Atlantique. Longtemps, cette partie extrême de la mer Méditerranée est restée mal connue des Grecs, qui craignaient de naviguer sur ces eaux agitées de forts courants. En revanche, les Phéniciens et les Libyphéniciens de Carthage étaient familiers du détroit, sur lequel s’exerçait leur monopole commercial. Les principales richesses des rives atlantiques de l’Europe et de l’Afrique – l’étain, la pourpre, l’or et l’ivoire – transitaient par les Colonnes. Sous l’Empire romain, les eaux mouvementées du détroit étaient toujours très redoutées, malgré l’intérêt marqué de Rome pour les richesses de la Maurétanie en salaisons ou en bêtes de cirque. Les risques de mer expliquent sans doute la permanence des mythes qui y sont rattachés. Le premier des mythes antiques concerne l’existence même du détroit. Cette brèche entre l’Europe et l’Afrique aurait été tranchée par Hercule, comme le rappelle Pomponius Mela dans la Description de la Terre, un périple du début du Ier siècle : « Il y a un mont très élevé, juste en face de celui qui s’élève de l’autre côté en Espagne : on appelle le premier Abyla, le second Calpé, et tous les deux les Colonnes d’Hercule. Au sujet de ce nom, on raconte une légende : Hercule lui-même aurait séparé ces collines qui joignaient autrefois une chaîne continue et ainsi l’Océan, jusque-là arrêté par la masse des montagnes, aurait pu pénétrer jusqu’aux rivages qu’il baigne maintenant. Là se trouve une grotte consacrée à Hercule. »

La force du héros
Le mont Calpe de l’Antiquité correspond à l’actuel Rocher de Gibraltar, sur la rive nord du détroit. Sur la rive sud, le mont Abyla des Anciens est le Djebel Moussa, situé au Maroc, près de Sebta. D’après Pomponius Mela, qui suit en cela l’opinion commune, ces deux éminences auraient fait partie d’un même ensemble montagneux déroulant ses plis sans solution de continuité entre le nord du Maroc et le sud de l’Espagne, et qu’Hercule aurait tranché pour donner naissance au détroit. Le mythe s’est peut-être construit sur une observation raisonnée. La géologie nous apprend en effet que le Rif et la chaîne Bétique sont structurellement cohérents et que l’embrasure atlantique s’est ouverte incidemment.
En effet, la mer Méditerranée est le vestige d’un ancien domaine maritime qu’on désigne toujours du nom de la nymphe Téthys. À partir de la période du Crétacé (il y a environ 100 millions d’années), la Téthys s’est refermée progressivement avec le rapprochement des continents africain et européen, au point qu’un morceau de cette mer originelle s’est retrouvé piégé entre les terres, réduisant ainsi la mer Méditerranée à un grand lac salé. Puis, à la faveur de l’érosion, des mouvements tectoniques et des transgressions marines, la digue naturelle qui séparait la mer et l’océan s’est rompue, faisant communiquer brutalement les eaux de l’océan dans le bassin méditerranéen. Evidemment, les Anciens n’avaient pas ces connaissances géologiques et les mythes servaient à combler le vide de la science.

Au centre du monde
Dans la Vie d’Apollonios de Tyane, au IIIe siècle, Philostrate précise les dimensions du détroit : « Les deux promontoires qui terminent l’Europe et la Libye forment un détroit, large de soixante stades, par lequel l’Océan entre dans le bassin de la mer intérieure ». Pour les Anciens, la mesure du détroit est essentielle, car cette faible distance constitue le lien terrestre le plus ténu entre deux continents dont les échanges nourrissent l’économie antique. Pour les géographes aussi la précision s’impose, puisque c’est exactement entre les Colonnes d’Hercule que passe le « premier parallèle », celui qui permet de positionner tous les points de la Terre et par conséquent de construire les cartes. Cette ligne qui traverse le milieu du détroit de Gibraltar, à égale distance de Lixus au Maroc et de Gadès en Espagne, sépare en somme l’Europe et l’Afrique en une sorte d’équateur des régions tempérées maîtrisées par les savants antiques. À la sortie du détroit et baignant dans les eaux de l’océan Atlantique, se trouvaient les deux villes antiques de Gadès (Cadix en Espagne) et de Lixus (près de Larache au Maroc). Ces deux villes fondées au début du Ier millénaire avant JC déterminaient une ligne Nord/Sud à partir de laquelle toutes les longitudes allaient être données. Cette ligne arbitraire était donc une sorte de « méridien d’origine » antique, qui constituait alors la limite occidentale de la Terre habitée. Ce « méridien d’origine », qui délimitait l’extrémité ouest du monde connu, et le « premier parallèle », qui traversait la Méditerranée et à partir duquel les latitudes étaient déterminées, se croisaient à Tingi (Tanger). Ainsi, les points de repère de l’espace géographique antique et la geste herculéenne occidentale se recoupent, puisque ces trois sites correspondent aux temps forts de la légende d’Hercule. À Lixus, Hercule s’empare des pommes d’or des Hespérides. Les Hespérides sont les trois nymphes du Couchant à qui Héra, femme de Zeus, a confié la garde de l’arbre aux pommes d’or dans un jardin du bout du monde, que les Anciens localisaient dans les méandres du fleuve Loukkos. À Tingi, Hercule soulève le géant Antée, fondateur légendaire de la ville du détroit, pour l’étouffer dans ses bras. À Gadès, le héros enlève les bœufs d’Hadès, le dieu des morts, qui paissent sur « l’île rouge » du soleil couchant.

En mémoire d’Hercule
Gadès et Lixus, théâtre des exploits légendaires d’Hercule sur le rivage de l’océan, se situent à égale distance des Colonnes éponymes. Or ces deux finistères symétriques aux confins du monde connu ont longtemps célébré la mémoire et le culte d’Hercule en deux temples gigantesques connus de tout le bassin méditerranéen. Sur l’acropole de Lixus, le vaste temple que l’archéologie a mis au jour et qu’on peut dater du IVe siècle avant JC pour sa construction, est probablement le sanctuaire d’Hercule évoqué par Pline l’Ancien dans son Histoire naturelle. Il mentionne également un autre lieu de culte à Hercule, au beau milieu du lit du fleuve Loukkos, là où le naturaliste du Ier siècle situe, avec circonspection, le jardin des Hespérides : « Il reste un autel d’Hercule, mais le fameux bois aux pommes d’or, objet des légendes, n’y a laissé que des oliviers sauvages ». À Gadès, en revanche, le célèbre temple d’Hercule a été recouvert par les constructions au fil des époques suivantes. Il ne reste plus de ce temple que la longue description qu’en donne Philostrate l’Athénien dans la Vie d’Apollonios de Tyane, au début du IIIe siècle. Apollonios de Tyane était un philosophe errant, guérisseur et faiseur de miracles du Ier siècle, qui a visité les principaux lieux de culte du monde romain. Naturellement, le temple de Gadès n’a pas échappé à sa sagacité. D’après Philostrate, l’île entière de Gadès était en fait un temple à Hercule dont l’autel portait des bas-reliefs figurant les célèbres travaux d’Hercule. En outre, le temple abritait un petit édifice fait de matières précieuses pour honorer les Colonnes d’Hercule, symbolisées par deux chapiteaux. « Les Colonnes d’Hercule, qu’on voit dans le temple, sont d’or et d’argent mêlés ensemble ; elles ont plus d’une coudée de hauteur et sont quadrangulaires comme des enclumes. Leurs chapiteaux portent des caractères qui ne sont ni égyptiens, ni indiens, ni de nature à être déchiffrés. Comme les prêtres gardaient le silence à ce sujet, Apollonios leur dit : « Ces colonnes sont les liens de la Terre et de l’Océan. Ces caractères, c’est Hercule qui les a gravés dans la demeure des Parques, pour empêcher toute guerre entre les éléments, et maintenir inviolable la concorde qui les unit  » », rapporte Philostrate. Quand Apollonios de Tyane évoque le lien entre la Terre à l’Océan pour expliquer les inscriptions indéchiffrables des chapiteaux, il reprend la cosmogonie grecque. Le philosophe rappelle que la concorde régit le rapport d’éléments a priori antagonistes depuis la sortie du chaos primordial. Ces deux Colonnes ont fini par devenir le symbole de l’extrémité occidentale du monde, correspondant par ailleurs à la limite des travaux d’Hercule. Enfin, convoquant les Parques qui tissent le fil de la vie des hommes, ces inscriptions mystérieuses détermineraient l’insondable destinée de l’humanité. D’une manière générale, les mythographes antiques plaçaient au-delà des Colonnes d’Hercule les puissances terribles comme les Gorgones, Géryon le guerrier à trois bustes, le géant Atlas, ou encore l’île des Bienheureux où séjournent éternellement les morts. Enfin, quand Platon veut localiser un empire aussi puissant et mystérieux que néfaste, il ne manque pas de situer l’Atlantide dans l’Océan, au sortir des Colonnes d’Hercule (voir encadré). Pour Platon comme pour ses contemporains du IVe siècle avant JC, les Colonnes d’Hercule sont le point repérable le plus éloigné de la Terre vers le Couchant. Enfin, l’illustre philosophe choisit de situer l’existence de cet État 9000 ans avant son époque, c’est-à-dire un passé improbable qui confine à l’intemporalité des mythes. Le mythographe à l’œuvre n’est pas dupe de sa création : il précise, dans les premières lignes du Critias ou l’Atlantide, que si on a besoin de précisions pour ce qui concerne l’histoire des hommes, on accepte le flou des histoires mythiques. Un peu plus loin, il ironise : « Afin donc qu’à l’avenir nos discours sur la génération des dieux soient exacts, nous prions le dieu de nous accorder le plus parfait et le meilleur des correctifs, la science ». Les Colonnes d’Hercule ont donc été tout à la fois le point de départ de mythes qui se sont perpétués tout au long de l’Antiquité et un point de référence incontournable de la géographie antique. À l’instar de la grotte d’Hercule près de Tanger, évoquée déjà par Pomponius Mela et dont le nom n’a pas changé, le souvenir des mythes antiques s’est perpétué dans la toponymie et dans notre imaginaire.

Platon situe l’Atlantide près des Colonnes d’Hercule
Au milieu du IVe siècle avant JC, dans deux dialogues philosophiques intitulés le Timée et le Critias, Platon fonde le mythe du pays des Atlantes : l’Atlantide. Dans le Timée, le philosophe évoque une première fois et brièvement une île atlantique située au sortir du détroit qui sépare l’Europe et l’Asie : « Nos livres racontent comment Athènes détruisit une puissante armée qui, partie de l’océan Atlantique, envahissait insolemment et l’Europe et l’Asie. Car, alors, on pouvait traverser cet océan. Il s’y trouvait en effet une île, située en face du détroit que vous appelez dans votre langue les Colonnes d’Hercule. Cette île était plus grande que la Libye et l’Asie réunies. […] Or, dans cette île Atlantide, des rois avaient formé une grande et merveilleuse puissance qui dominait l’île entière […]. Cette vaste puissance, réunissant toutes ses forces, entreprit un jour d’asservir […] tous les peuples situés de ce côté du détroit. […] C’est pourquoi, aujourd’hui encore, on ne peut ni parcourir ni explorer cette mer, la navigation trouvant un insurmontable obstacle dans la quantité de vase que l’île a déposée en s’abîmant. » Parfois, le mythe des Colonnes d’Hercule et celui de l’Atlantide se combinent, comme sur la Table de Peutinger. Sur cette copie médiévale d’un itinéraire routier de l’Antiquité tardive, les Colonnes d’Hercule ont l’aspect de véritables colonnes antiques, pourvues de chapiteaux, reposant sur une petite île située entre l’Europe et l’Afrique, absente de nos cartes actuelles. Les colonnes sont un clin d’œil du cartographe, dont le but ici est de détailler les itinéraires routiers, les étapes et les villes importantes dont la mer est naturellement dépourvue. L’île ici figurée rappelle la persistance par-delà le temps du mythe de l’Atlantide créé par Platon.

Jean-Luc Pierre , professeur d’Histoire-géographie au lycée Lyautey de Casablanca. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur le Maroc

Tags: colonne Herculedétroit de Gibraltarmythologie grecque
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Commentaires 2

  1. Tiphanie says:
    6 ans ago

    Bonjour est merci pour ce site je te suis très reconaicente. Continu(e)s comme sa!!!!!

    Répondre
  2. Philippe R says:
    7 mois ago

    Bonjour. Merci et bravo pour cette explication à la fois claire et détaillée!

    Répondre

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