La photo est trompeuse et les sourires ne sont que de circonstance. Car à la veille de l’Aïd El Kebir 1954, les tensions au Maroc sont à leur comble. Les raisons de la colère sont nombreuses. Un sultan toujours en exil et une répression coloniale de plus en plus féroce. A cette époque, Mohamed Oufkir n’est pas encore la principale figure autoritaire du régime. Il est un officier au service de l’armée française. A ses côtés, au centre, son supérieur, le résident général Francis Lacoste. Les deux attendent autant les « chfenj » que les troubles à venir.
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