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Le football à l’aube de l’indépendance

La Rédaction par La Rédaction
29 janvier 2019
dans LE MAG, SPORT
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Photo taken in 1953 shows Moroccan football player Larbi Benbarek (L) fighting for the ball.   AFP PHOTO / AFP PHOTO / STRINGER

Photo taken in 1953 shows Moroccan football player Larbi Benbarek (L) fighting for the ball. AFP PHOTO / AFP PHOTO / STRINGER

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La fin de la saison sportive approche. Cette année a été exceptionnelle pour le football marocain, qui a connu sa première Botola « pro ». L’occasion de revenir sur la chronique des premières années du football national après l’indépendance.

Nous sommes en 1956 et le Maroc fait ses premiers pas en tant que nation indépendante. La construction du nouvel Etat est en marche et tous les domaines sont concernés. Pour le sport, l’essentiel à cette époque est de poser les premiers jalons des fédérations sportives. Des personnalités du mouvement national, comme Mehdi Ben Barka, sont chargées de créer ces premières institutions. Dans un pays déjà conquis par la fièvre du ballon rond, la plus importante de ces associations sera la Fédération royale marocaine de football (FRMF). Dès le début, ce sont 310 clubs et 6087 licenciés qui y sont affiliés. Beaucoup de ces équipes ont déjà disputé la Ligue du Maroc, qui s’est arrêtée définitivement l’année précédente après 39 ans d’existence. Avant de lancer la nouvelle version du championnat, les instances footballistiques décident d’organiser un tournoi pour placer les clubs marocains dans les différentes divisions. On donne à ce tournoi le nom de Coupe de l’Indépendance. A l’issue de cette compétition, c’est le Wydad de Casablanca (WAC), le dernier champion de la Ligue du Maroc, qui remporte le titre. Du coup, le club casablancais entre en première division avec les quinze autres meilleures équipes. La deuxième division, quant à elle, est divisée en deux zones : nord et sud.

Nouvelle ère, nouveaux championnats
En septembre 1956, démarre donc le nouveau championnat marocain avec 16 équipes. En même temps, on crée une autre épreuve, basée cette fois sur le système éliminatoire. Elle permettra aux petites équipes de se mesurer aux grandes et d’avoir, le temps de quelques matchs, leur moment de gloire. Cette compétition portera le nom de Coupe du Trône. Le choix de cette appellation n’est pas fortuit, puisque c’est l’époque où le sultan Mohammed Ben Youssef devient le roi Mohammed V, et où les différentes forces politiques du pays se disputent le pouvoir. L’objectif, derrière cette appellation, est aussi de rompre avec le passé colonial du football marocain. Des clubs avec des joueurs européens, comme l’Union sportive marocaine de Casablanca (USM) – 15 fois champions de la Ligue du Maroc – sont toujours là et font encore partie de l’aventure.
Mais la première saison du football marocain post-indépendance est dominée par le WAC. Le club rouge et blanc remporte le championnat en devançant son dauphin, le Kawkab de Marrakech (KACM) de quatre points. En coupe du trône, le WAC arrive en finale, où il rencontre le Mouloudia Club Oujda (MCO). Le match se joue le 16 novembre 1957 au stade Marcel Cerdan, futur stade Mohammed V. Devant les 30 000 supporters présents ce jour là, les Oujdis ouvrent le score aux derniers instants de la première mi-temps. Les Casablancais réussissent à égaliser à la 60e minute, mais le score ne bougera plus jusqu’au coup de sifflet final. Comme l’épreuve des tirs aux buts n’existe pas encore, et comme le règlement de la Coupe du Trône n’a pas prévu une telle situation, on décide de remettre le titre à l’équipe qui a ouvert le score, en l’occurrence l’équipe d’Oujda. C’est Mohammed V lui-même qui remet la Coupe à Belkheir, le capitaine du Mouloudia. Pour la petite histoire, les deux buts marqués lors de cette première finale du Maroc indépendant ont été les réalisations de joueurs français : Braizat pour Oujda, et Mayet pour le Wydad.

Un club pas comme les autres
Toutefois, les traces du football colonial disparaissent dès la saison suivante. L’USM, le club mythique de l’époque française, déclare forfait général. Le temps des joueurs européens et des résultats brillants est révolu, et la légende du club tombe progressivement dans les oubliettes de l’Histoire. Mais la disparition de ce club est compensée par l’apparition d’une nouvelle légende du football marocain, l’Association sportive des forces armées royales (FAR). Dès le départ, l’équipe militaire dispose d’infrastructures et de moyens considérables. Sur le plan sportif, le club a été parachuté en deuxième division sans subir le passage obligatoire par les divisions d’honneur. Cette naissance singulière est le fruit de la volonté d’un seul homme, le prince héritier de l’époque, Moulay Hassan. Celui qui a créé l’armée du pays en 1956 veut cette fois bâtir une équipe de football qui soit le modèle à suivre pour les autres clubs du royaume. C’est ainsi qu’en 1958 les meilleurs sportifs des forces armées sont recrutés pour rejoindre les rangs de cette équipe, à l’exemple d’un jeune lieutenant qui excelle dans plusieurs disciplines d’athlétisme et surtout en saut en hauteur, un certain Hosni Benslimane.
Pour leur première saison, les militaires réalisent deux exploits : ils accèdent à la première division du championnat et réussissent surtout à remporter la 3e édition de la Coupe du Trône. La supériorité des joueurs des FAR est à ce moment indiscutable, mais l’intérêt montré par le prince héritier pour cette équipe – il assiste aux matchs sur le banc de touche – rejaillit sur l’esprit sportif de la compétition. Pendant la saison 1959-1960, trois équipes terminent le championnat à la première place avec un total de 54 points : le Raja de Casablanca, les FAR de Rabat et le KAC de Kénitra.

L’Etoile maudite
L’équipe casablancaise dispose d’une meilleure différence de buts et doit, selon le règlement de la FIFA, remporter son premier titre. Mais pour donner une seconde chance à l’équipe des FAR, dirigée par l’entraîneur français Guy Cluseau, la FRMF décide d’organiser un tournoi à trois pour les départager. Le Raja rejette cette proposition et refuse de jouer le tournoi qui se dispute finalement en un match barrage, qui se solde par la défaite des FAR par trois buts à un. Cet épisode ternira pendant des années la réputation de l’équipe militaire, jugée trop proche du pouvoir. A l’opposé, ces premières années d’indépendance vont devenir un véritable enfer pour certaines équipes, à l’image de ce qui est advenu de l’Etoile jeunesse sportive de Casablanca. Fondé en 1942 par un groupe de résistants, le club de Derb Ghalef va réussir, lors de sa première participation en première division (saison 1958-1959), à remporter le titre.
Ce premier et unique sacre de l’histoire de l’Etoile est l’aboutissement d’un travail de plusieurs années, effectué par le président du club, Mohamed Ben Hamou El Fakhri. Ce résistant de la première heure avait réussi, au début des années 1940, à rassembler autour de lui les trois clubs du quartier de Derb Ghalef et à former une équipe qui se voulait militante, sur le modèle du Wydad. Doté d’un grand charisme, El Fakhri s’est imposé à la fois comme président du club et comme leader politique. On raconte même qu’il entrait dans les vestiaires avec sa mitraillette et menaçait les joueurs de son équipe qui refusaient de jouer. Après l’indépendance du pays, il entre en conflit avec les autorités après avoir refusé de rendre les armes en tant que cadre de l’Armée de libération. Graduellement aussi, ses relations avec le prince héritier se détériorent. En 1963, au beau milieu de la crise politique qui oppose Hassan II à la gauche marocaine, El Fakhri est arrêté en plein quartier du Maârif, au lendemain d’un match de son équipe.  Il est transféré le jour même à la prison de Kénitra où il sera exécuté par balles trois jours plus tard. La saison suivante, le club est relégué en seconde division et ne se remettra pas de la disparition de son président.

Liaisons dangereuses
Suite à cet épisode, les autorités décident qu’il est temps de verrouiller le paysage sportif marocain. Dans son ouvrage, Makhazinisation du Sport, Moncef El Yazghi raconte comment, au début de l’indépendance, les anciens joueurs des clubs marocains ont été intégrés au sein des appareils sécuritaires du pays. Cela a permis à l’Etat d’intégrer délicatement les bureaux dirigeants des clubs et de désigner à leurs têtes des hommes de confiance. La relation entre sport et politique est dès lors quasi institutionnalisée et offre au ministère de l’Intérieur l’occasion de mieux contrôler l’ordre public dans les grandes et moyennes villes. Sur le plan purement sportif, cette nouvelle donne affecte l’impartialité des arbitres qui doivent subir l’interventionnisme de quelques dirigeants de football, proches des sphères de pouvoir. En atteste l’exemple de Lahcen Dlimi, président de l’Union de Sidi Kacem et père du nouvel homme fort des services sécuritaires du pays dans les années 1960, le colonel Ahmed Dlimi. A plusieurs occasions, Lahcen Dlimi, pour favoriser son équipe, a tout simplement ordonné aux arbitres de siffler la fin de la rencontre avant la fin du temps réglementaire. Pire, lors d’un match de son équipe à domicile face au Raja de Casablanca, Dlimi père descend des gradins, pénètre sur le terrain et se dirige vers l’arbitre qu’il insulte, avant de le gifler devant une assistance médusée. La seule « erreur » de ce pauvre arbitre est de ne pas avoir favorisé l’équipe Kacimi au détriment du club casablancais, vainqueur du match. D’autres dirigeants sportifs proches des services sécuritaires interviennent personnellement pour faire gagner leurs équipes et gâchent donc l’esprit sportif du jeu. C’est notamment le cas du commissaire Mahmoud Archane, président de l’Ittihad Zemmouri de Khémisset à partir de 1966.
Malgré ces épisodes sombres, la période est aussi l’une des pages les plus glorieuses du football marocain. A partir de 1962, à l’occasion de la tenue de la Coupe Mohammed V, les pelouses du royaume accueillent régulièrement les meilleures équipes du monde. Des clubs comme le Real de Madrid, le FC Barcelone, le Bayern de Munich, l’Inter de Milan ou encore Boca Juniors viennent chaque année au Maroc pour disputer ce mini tournoi qui se joue à quatre équipes. L’avenir s’annonce radieux pour le football national, mais le durcissement politique du pays en décidera autrement. Le professionnalisme du jeu attendra…

Par Bassam Nejjar 

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