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Moulim El Aroussi par Moulim El Aroussi
15 juillet 2022
dans DE LA MARGE, Mustapha Bouaziz, OPINIONS
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En plus de sa forte personnalité depuis l’époque des Berghwata, Casablanca avait non seulement supporté, la première, les plus grandes attaques coloniales, mais aussi les chocs civilisationnels. Lyautey décida d’en faire un laboratoire d’architecture, il la livra alors aux architectes venus du monde entier.  La conséquence et après plus d’un siècle n’est pas une catastrophe, ce qui choquait jadis est devenu aujourd’hui une référence incontournable. La ville est un véritable musée d’architecture. Est-il bien conservé, bien entretenu, bien protégé contre les carnassiers de l’immobilier ? Mais les murs sont toujours debout et demandent à être protégés. L’arrivée d’architectes n’ayant pu réaliser leurs projets, de réfugiés, de fugitifs, d’espions, d’aventuriers… Tout cela a donné à Casablanca l’aspect d’une ville du nouveau monde. On y trouvait les nouvelles idées politiques, artistiques, comme les idées conservatrices. Elle a porté à ses débuts la marque de la grande métropole. Ce n’est pas par hasard que les alliés l’avaient choisie pour leur réunion en 1943 en présence de Mohammed V. Son avenir était presque tracé.
Les Africains ne connaissent que Fès, pour le pèlerinage au mausolée de Sidi Ahmed Tijani, et Casablanca pour le commerce, la santé, la distraction, la culture…
Quand ils viennent au Maroc, les hommes d’affaires du monde atterrissent à Casablanca. Ils vont certes dans des hôtels, des restaurants, des lieux de distractions, ce qui ne manque pas à Casablanca, mais ils veulent aussi aller dans des lieux où ils peuvent connaître le pays un peu plus : des théâtres, des musées, des librairies… Ils veulent aussi faire coïncider leur séjour avec des événements importants, des festivals de musique, de cinéma, de livre…
Depuis qu’on parle de la culture et l’entreprise, de l’entreprise citoyenne et du rôle de l’art dans le développement, Casablanca était devenue, à l’échelle du Maroc et du Maghreb, leader dans ce domaine. Normal, me dira-t-on ! c’est bien le pôle économique le plus important, c’est l’une des villes les plus connues au monde, d’abord grâce à son rôle économique sur le plan africain, grâce à son port certes, mais aussi grâce au célèbre film de Michael Curtiz (1942) et la brillante interprétation d’Humphrey Bogart mais surtout de la lumineuse Ingrid Bergman.
J’étais en Autriche dans un bled perdu, au milieu de nulle part, et on m’a demandé d’où je venais, j’ai dit Maroc, Morocco, Marocco, Marruecos…
Personne n’a compris de quoi je parlais, mais quand j’ai eu l’idée d’évoquer Casablanca, tout le monde s’est écrié oh ! Casablanca ! Bien évidemment, il y a des villes qui ont une personnalité particulière et qui transcendent tout un continent.
Casablanca est bien la ville des affaires, c’est donc normale qu’elle soit aussi la ville de la culture de demain. C’est à Casablanca qu’on a vu naître les mouvements culturels qui ont marqué l’histoire du Maroc moderne: l’école artistique de Casablanca, le théâtre Seddiki, le mouvement des Ghiwane, les nouvelles expressions musicales…
Bien avant cela, c’est dans cette même ville qu’est né l’art engagé qui s’est opposé à l’occupation coloniale : Bouchaïb Bidaoui, Hussein Slaoui, Maréchal Qibbou, Hamdaouia…Aujourd’hui, l’art contestataire, l’art contemporain. C’est à Casablanca que se concentre la presse, la communication de tout genre…Les galeries d’art…
Par ailleurs et depuis 1988, date à laquelle Wafabank, avait ouvert un espace dédié à l’art, les entreprises casablancaises s’étaient mises à la concurrence dans ce domaine. L’on a procédé à la création de Fondations et par la suite à l’ouverture d’espaces dans les enceintes des entreprises ou autonomes comme l’ONA pour la Villa des arts.
Mais ce qui va au-delà de l’organisation de grandes expositions d’artistes marocains ou étrangers, c’est l’acquisition des œuvres. On peut compter aujourd’hui une richesse incroyable en œuvres d’art surtout picturales dans les différentes institutions casablancaises…
Parler des industries culturelles hors Casablanca, serait du pur décoratisme. 

Par Moulim El Aroussi, conseiller scientifique de Zamane

Tags: Bouchaïb BidaouiCasablancaGhiwaneHamdaouiaHistoireHistoire du MarocHussein SlaouiMaréchal QibbouMarocMohammed VMoulim El AroussiSidi Ahmed TijaniZamane
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