Les mystères des disparus durant les années de plomb sont loin d’être tous résolus. Un nouveau est peut être apparu dans la province de Dakhla, où le reste d’ossements humains ont été découverts lors des travaux de fouille dans les ateliers de restructuration et de restauration du siège de la Commune de Dakhla, le 20 mars dernier. Face à l’hypothèse d’une fosse commune héritée des années de plomb, le CNDH (Conseil National des Droits de l’Homme) est mis à contribution. Dans un communiqué, l’institution a salué «l’importance de la décision du ministère public, qui a ouvert une enquête sur l’affaire et soumis les restes aux analyses génétiques nécessaires». Par ailleurs, le CNDH précise que «le président de la Commission régionale des droits de l’homme de la région Dakhla-Oued Eddahab, mandaté par le président du Conseil national, a tenu une séance de travail avec les autorités locales pour vérifier les données qui ont circulé à ce sujet à travers les réseaux sociaux».
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