Les historiens usent d’un langage scientifique, codé et peuplé de concepts complexes souvent peu digestes pour le grand public. En nous adressant à des lecteurs d’un autre genre, nous avions besoin de l’art du journalisme.
La première fois que j’ai entendu parler de Zamane, c’est lorsque la direction du magazine m’a contacté à l’été 2010 pour me parler d’un projet, dont je ne savais rien encore. J’ai été mis en confiance par le journaliste Abdellatif Mansour, un ami commun avec le directeur de la publication Youssef Chmirou. Il m’a convaincu du sérieux de l’équipe et de la solidité du projet. Après une brève réflexion, j’ai décidé de faire partie de l’aventure. C’est alors que nous avons longuement discuté de ce que devrait être la ligne éditoriale du magazine. Si Zamane m’a contacté, ce n’est pas seulement en tant qu’historien, mais parce que j’avais une expérience dans la presse écrite. Et c’est justement de cela dont il s’agit concernant les ambitions du magazine.
Par Mostafa Bouaziz
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