Au-delà du souverain enfantin épris de l’Occident qu’a été Moulay Abdelaziz, il y a aussi l’homme intime que Zamane vous raconte à partir des souvenirs inédits de ses descendants.
C’est un homme que l’Histoire a accablé, avant de le laisser mourir oublié, loin des ors du pouvoir. On croit avoir tout dit de Moulay Abdelaziz, de sa légèreté, de son manque de poigne et, au final, de sa responsabilité dans la débâcle marocaine qui a conduit, en 1912, à l’établissement des protectorats français et espagnol. De ce sultan, qui a officiellement régné de 1894 à 1908, on ne connaît pourtant que très peu la vie intime. Après son abdication et jusqu’à à sa mort en 1943, il vécut à Tanger le plus clair de son temps, à la fois exilé en son propre pays et voyageur impénitent, hôte prestigieux de grands hôtels européens. Cet éphémère sultan a laissé une descendance peu-à-peu tombée dans l’oubli : un fils, une fille et des petits-enfants que nous avons rencontrés et qui, encore aujourd’hui, revendiquent fièrement leur glorieuse filiation et qui, à chaque bey’a ou cérémonie officielle, renouvellent le pacte d’allégeance qui les lie, eux plus que d’autres, à la famille régnante.
Un enfant sur le trône
Quand il monte sur le trône, à la mort de son père Hassan Ier, Abdelaziz n’a que treize ou quatorze ans. Certes, il est proche de son père mais a d’autres frères. Il faudra donc tous les calculs de Ba Ahmed, le puissant hagib (chambellan), pour l’imposer à la charge suprême. En tant que chef du protocole, Ba Ahmed, de son vrai nom Ahmed ben Moussa, a un accès privilégié au vieux sultan. En cette fin d’année 1894, celui-ci a lancé sa mhalla (armée chérifienne) à l’assaut du Tadla révolté. Ce sera sa dernière campagne. Hassan Ier rend en effet l’âme en plein territoire hostile, à la tête d’une armée affaiblie par la fièvre et aux moyens de transports limités. Seul maître, avec quelques esclaves, du secret de la mort de Hassan Ier, Ba Ahmed sait qu’une fois la nouvelle ébruitée, les troupes ne tarderont pas à se débander, voire à se livrer au pillage et à des exactions. Tout en dépêchant un émissaire à Rabat, chargé d’informer Abdelaziz, le jeune fils du défunt sultan, Ba Ahmed tient donc la nouvelle secrète pendant quelques jours, le temps que la mhalla arrive en territoire soumis et puisse être mise devant le fait accompli. Entre temps, Moulay Abdelaziz a été proclamé sultan à Rabat.
Par la rédaction
UNE PLAITE OU UNE DECLARATION
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Bonjour à vous toutes et tous et merci de vos amabilités et compréhensions. Nous sommes des anciens membres sacrifiant d’une ex organisation secrète<> parti de la résistance marocaine crée le dimanche 07 février 1954 par ZIKILA nous avions prêté serment pour combattre le colonialisme qui avait exilé notre cher père spirituel S.M le sultan Mohamed ben Youssef que le bon DIEU Le loge dans ses vastes paradis et pour la liberté de notre chère patrie le Maroc .Nous avions gardé un secret d’une grande souffrance très douloureuse ,dure et pénible alors que nous étions que des mineurs sans les 21 ans. En 1956 après la victoire et le retour du sultan Mohamed cinq à son trône, la liberté du royaume, la création et la stabilité du premier gouvernement, nous étions accusés d’une bande de criminels armés et dangereux contre le régime et trône. Un mépris et une haine cicatrisés par des tortures qui nous hantaient durant toute notre existence, nous étions victimes des mercenaires les bourreaux du commissariat du 7ème arrondissement au derb Elbaladia à la nouvelle médina. C‘était plus atroce plus dure, plus pénible qui avait dépassé les tortures de la gestapo nazi en Allemagne en 1945. Nous étions les premières victimes opprimées et torturés de la première police marocaine. Nous les membres du<> et nos camardes de l’organisation <>nous étions les cibles des kidnappings, des assassinats, des disparussions, des arrestations à tord et des emprisonnements sans condamnations ni jugement. Des transferts de prison en prison ; Casablanca ; Kenitra et Rabat .C’était l’ordre d’un comité exécutif d’un parti politique unique et autoritaire en 1956 rien que pour s’emparer du pouvoir. Le jour ou S.M feu roi Hassan deux que Dieu le loge dans ses vaste paradis, avait ordonné l’ouverture du bureau du droit de l’ homme , nous avions cru qu’une fenêtre d’espoir est ouverte pour nous demandions une justice ; aussi c’était la grande joie et le grand jours quand sa majesté le roi sidi Mohamed six que le bon Dieux l’assiste et le glorifié , avait annoncé la création du bureau de l’instance équité et réconciliation . Nous avions imaginé que nos dossiers déposés en 2004/2005 seront pris en considération parce que nous sommes les sacrifiant pour l’indépendance dans un pays de liberté, de transparence et de justice. Presque 54 ans de silence, d’attente et des hésitations que le journal confidentiel de notre organisation « monadamat abnaa Mohamed elkhamis » était fermé dans un terroir en attendant sa sortie pour voir la lumière. En 2007 nous l’avions recopié et retransformé en un livre de 132 pages et 32 chapitres publié le 1er aout par la maison Edilivre. com, son titre est<<LES BOUIRREAUX DES JOURS AMBIGUS EN 56<<< IL décrit des événements Choc de 1947- 52-53-54-55- et les jours ambigus en 1956, Nous avions présenté une copie à un cadre Administratif du bureau CCDH à Rabat Mr Moussadak Abdehak qui l’avait confisquer sans aucune raison. Pour obtenir une justice, nous avions lancé des appels de secours à tous les défendeurs et les observateurs qui défendent le droit des hommes opprimés et torturés. http://www.monadamat abnaa Mohamed elkhamis.com ((((email [email protected]
Bonjour,
Pour les raisons d’un film documentaire, je suis à la recherche du contact de Mr. Souleïman Bencheikh.
Pourriez-vous me mettre en contact avec lui.
je vous remercie d’avance.
Mohamed Bouhari
0619915343
je cherchais autre chose malheureusement pour moi.
Mmes, Messieurs,
J’ai étais ravis et fière de lire cet extrait de l’histoire du Maroc sur une partie de la vie de Moulay Abdellaziz ben Moulay
EL HASSAN Ier.
Cependant j’aimerais bien si il vous ai possible de rapporter une histoire plus contemporaine concernant la blessure qui est encore ouverte celle des marocains et marocaines expulser d’Algérie en 1975 et qui à ce jour n’ont jamais été indemniser par n’importe quel gouvernement ni algérien ni marocain entre temps nos parents s’ont mort ruiné et dans l’anonymat le plus complet, pour ma part cela fait 44 ans que je me bat avec l’administration algérienne pour pouvoir vendre nos biens rester en Algérie sans aucun accord de leurs part, je suis né en Algérie j’avais 26 Ans le jour de l’expulsion notre famille se composer de 16 personnes parents et frères et soeurs et maintenant j’ai 70 ans et nous ne voyant rien arrivé de part & d’autres!