S’il n’a pas été élu «Man of the year» (homme de l’année) par Time Magazine, le héros rifain Abdelkrim El Khattabi a bel et bien figuré en couverture du célèbre périodique américain. C’était le numéro du 17 août 1925 : le visage du leader rifain figurait alors seul sur la page de couverture, le regard perçant, la barbe légère et la tête enturbannée. Seul bémol, le montage laisse à désirer et on devine sans mal l’approximatif coup de ciseau des monteurs du magazine. Point d’Internet ni de logiciel d’infographie à l’époque. Mais l’essentiel est là, le magazine américain rend hommage à l’homme qui a fait trembler deux empires coloniaux, à l’époque où le leader est à son apogée. Mais d’où provient la sympathie que pouvaient ressentir les Américains envers ce «rebelle exotique» ? Il y a à cela deux raisons principales. La première est que l’Amérique de l’époque était de tradition isolationniste et regardait d’un mauvais oeil l’expansion coloniale des pays européens. La seconde quant à elle n’est autre que le différent historique qui opposait l’Espagne aux Etats-Unis. Ceux-ci s’étaient affrontés à de multiples reprises lors de la guerre hispano-américaine (1898-1901), conflit qui s’était soldé par le retrait des Espagnols de Cuba et des Philippines.
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(( Une Réalités de 57 ans Déterrée) ******************************* Nous les survivants des boucheries sauvages des jours ambigus en 56 contre nous , les chefs et les membres des 2 organisations libératrices de la résistance marocaine(( Le Croissant Noir et Monadamat Abnaa Mohamed Elkhamis)) .Nous avions prête serment que notre objectif était de combattre les occupants de notre chère patrie , le retour de l’exile de notre adorable père spirituel bien aimé le sultan Mohamed Ben Youssef et l’indépendance du royaume. Nous sommes très reconnaissant à la commission de la maison Edilivre.com qui avait accepte la publication de notre livre ((Les Bourreaux des jours Ambigus en 56)). Dieu merci 57 ans,notre journal écrit par Zikila dans les cachots des 3 prisons (Casablanca-Kenitra et Rabat , fermé dans un terroir pour des raisons forcées ,devient un livre d’ une histoire réelle et vraie .Nous avions participé à la révolution du Roi et du peuple avec des armes ,des bombes , des avertissements avec des tracts, le silence , le secret total et non pas avec les pierres ou des paroles.Quelques mois après la victoire ,le retour du Roi et sa famille de l’ exile, l’indépendance du Royaume, la création et la stabilité du premier gouvernement marocain, nous étions accusés à tort d’une bande de criminels armés et dangereux contre le régime et le trône nous étions arrêtes torturés à mort . Dieu seul sait combien était le nombre des martyrs morts dans ce commissariat du 7ème arrondissement du derb elbaladia par ces bourreaux ???.Nous étions jugés à huit clot par un tribunal militaire au palais royal à Rabat .Sans aucune preuve rien que des fausses accusations dans nos dossiers le tribunal démentit les mercenaires et nous étions innocentés et relâches par un jugement obéissant et autoritaire du Roi Mohamed cinq.Voir notre dossier 2002/56.Pour savoir plus lire le livre (((Les Bourreaux des Jours Ambigus en
56))