• Contact
  • Qui sommes-nous
  • Votre Publicité
  • العربية
S'ABONNER À ZAMANE
Zamane
  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT

    Quand le Maroc tournait le dos à la philosophie – Zamane

    La tyrannie sanitaire durant le Protectorat – Zamane

    Interrogations sur la généalogie des Saâdiens – Zamane

    Abou Yacoub Vs. Sancho : un match dans le match, entre les Mérinides et les Espagnols – Zamane

    Ambassadeurs Européens à la cour chérifienne – Zamane

  • L’ÉNIGME

    Chérifs Vs. Turcs, deux siècles de guerre froide – Zamane

    Sidi Heddi et les Haddaouas, moines-gitans made in Maroc – Zamane

    Grèves de 1936 : Et l’ouvrier marocain est né ! – Zamane

    Quand le Protectorat met à mal le système des habous – Zamane

    Safi 1932 : Et le vent devint électricité ! – Zamane

    Restitution des archives françaises au Maroc : Attention sensible ! – Zamane

    Le miracle économique de Hassan II – Zamane

  • DOSSIERS
    • Tous
    • DÉCRYPTAGE
    • RECHERCHE
    • SPÉCIAL

    Ibn Khaldoun, théoricien (avant l’heure) des dynamiques sociales – Zamane

    Ibn Khaldoun, un jawal maghrébin – Zamane

    Ibn Khaldoun et l’écriture de l’histoire – Zamane

    Ibn Khaldoun : Le penseur et le symbole – Zamane

    Ibn Khaldoun : Un homme en avance sur son temps – Zamane

    Pascal Buresi : «Avec les Almoravides, le Maghreb est pour la 1ère fois en position de force de part et d’autre du Détroit de Gibraltar» – Zamane

    Silences et questions sans réponses – Zamane

    Al-Motamid ou la tragédie du dernier roi de Séville – Zamane

    Marrakech, épicentre du nouvel empire – Zamane

  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS

    Vidéo : Visite officielle du roi Hassan II en République Fédérale Allemande (RFA) en 1965 – Zamane

    Vidéo : Education, c’était mieux avant ?

    Vidéo : Dlimi lors de la bataille d’Amgala

    Vidéo – Hassan II fasciné par l’éloge d’un poète

    Vidéo – 1962 : Le jeune roi Hassan II célèbre aid al-Fitr

    Vidéo – La dernière grande famine au Maroc

    Vidéo – Le mariage de Moulay Abdellah en vidéo

    La résistance au cœur de Jbel Sargho (vidéo)

    Le Grand Maroc, un grand fantasme de l’Istiqlal

  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT

    Quand le Maroc tournait le dos à la philosophie – Zamane

    La tyrannie sanitaire durant le Protectorat – Zamane

    Interrogations sur la généalogie des Saâdiens – Zamane

    Abou Yacoub Vs. Sancho : un match dans le match, entre les Mérinides et les Espagnols – Zamane

    Ambassadeurs Européens à la cour chérifienne – Zamane

  • L’ÉNIGME

    Chérifs Vs. Turcs, deux siècles de guerre froide – Zamane

    Sidi Heddi et les Haddaouas, moines-gitans made in Maroc – Zamane

    Grèves de 1936 : Et l’ouvrier marocain est né ! – Zamane

    Quand le Protectorat met à mal le système des habous – Zamane

    Safi 1932 : Et le vent devint électricité ! – Zamane

    Restitution des archives françaises au Maroc : Attention sensible ! – Zamane

    Le miracle économique de Hassan II – Zamane

  • DOSSIERS
    • Tous
    • DÉCRYPTAGE
    • RECHERCHE
    • SPÉCIAL

    Ibn Khaldoun, théoricien (avant l’heure) des dynamiques sociales – Zamane

    Ibn Khaldoun, un jawal maghrébin – Zamane

    Ibn Khaldoun et l’écriture de l’histoire – Zamane

    Ibn Khaldoun : Le penseur et le symbole – Zamane

    Ibn Khaldoun : Un homme en avance sur son temps – Zamane

    Pascal Buresi : «Avec les Almoravides, le Maghreb est pour la 1ère fois en position de force de part et d’autre du Détroit de Gibraltar» – Zamane

    Silences et questions sans réponses – Zamane

    Al-Motamid ou la tragédie du dernier roi de Séville – Zamane

    Marrakech, épicentre du nouvel empire – Zamane

  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS

    Vidéo : Visite officielle du roi Hassan II en République Fédérale Allemande (RFA) en 1965 – Zamane

    Vidéo : Education, c’était mieux avant ?

    Vidéo : Dlimi lors de la bataille d’Amgala

    Vidéo – Hassan II fasciné par l’éloge d’un poète

    Vidéo – 1962 : Le jeune roi Hassan II célèbre aid al-Fitr

    Vidéo – La dernière grande famine au Maroc

    Vidéo – Le mariage de Moulay Abdellah en vidéo

    La résistance au cœur de Jbel Sargho (vidéo)

    Le Grand Maroc, un grand fantasme de l’Istiqlal

  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
Aucun Résultat
View All Result
Zamane
  • العربية

Zamane, l’incompris… – Zamane

Youssef Chmirou par Youssef Chmirou
15 mars 2024
dans EDITOS
7
539
Partages
156
VUES
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Toute publication étant faite pour être lue, il est normal, chaque fois que nécessaire, qu’elle s’en remette à ses lecteurs. Surtout si ces derniers ne sont pas ce qui manque le plus ; loin s’en faut. La question sur laquelle votre magazine voudrait vous prendre à témoin relève de la relation entre éditeur et annonceurs. L’annonce publicitaire ; le nerf de la guerre incontournable de la durabilité d’un support. Résumé à l’extrême, disons que certains annonceurs ne nous réservent pas le traitement que nous sommes en droit de revendiquer. Ils ne nous jugent pas à la juste valeur de ce que nous proposons, ni plus ni moins. Forcément, nous nous efforçons de comprendre les raisons et les ressorts de cette attitude qui, vous l’aurez compris, n’est pas équitable. Un effort d’interrogation et de compréhension qui balance, comme souvent en pareille situation, entre le mieux et le pire. Commençons par la première hypothèse, pour être positif. Au mieux, nous serions désespérément incompris pour ne pas dire totalement à côté de nos marques, aux yeux des critères et des us et coutumes de la planète pub. Les détenteurs de la décision de l’annonce publicitaire ; encore moins, encore plus, ou tout autant que leurs intermédiaires attitrés nous prendraient pour un magazine élitiste. Un magazine qui ne traite que d’une pauvre discipline qu’est l’Histoire. Circonstance aggravante, ledit magazine s’est spécialisé dans l’histoire du Maroc, ce qui, juge-t-on sans appel, réduit son volume de lectorat et l’onde de son impact publicitaire. Or, si les intervenants dans Zamane sont des historiens reconnus et des journalistes confirmés, ce n’est pas un handicap, mais une conditionnalité convenue qui atteste du sérieux de son contenu. Ce n’est pas, non plus, une barrière en termes de communication, dans la mesure où le traitement des sujets proposés est fait dans un souci de facilitation d’accès à la vérité historique. Sans omettre le passage obligé par la mise en contexte. Un exercice pédagogique que nos historiens, qui écrivent pour vous, s’imposent volontiers, car tout chercheurs qu’ils soient, ce sont des enseignants habités par le désir de transmission de leur savoir. Tout compte fait, si les écrits que nous vous proposons ne s’adressaient qu’à un microsome de rats de bibliothèques et autres archives, des avertis totalement acquis, entre autres mordus périphériques de la chose historique, Zamane aurait fait long feu. La géographie de la distribution, bien plus que les volumes de vente, régulièrement mis en avant, en est la preuve. Par conséquent, l’argument de l’élitisme ne tient pas la route. Il est d’autant en porte-à-faux qu’en chiffres de vente, Zamane est le premier mensuel marocain, toutes spécialisations confondues. Comme quoi, la grille de lecture qui nous est infligée est indécryptable ; de même que l’ordre de ciblage des supports et les voies d’appréciation des annonciateurs sont insondables. Manifestement, leurs critères d’évaluation dépassent tout entendement professionnel, au point d’être un défi pour le plus commun du bon sens. Venons en maintenant à ce seuil du pire, que nous aurions voulu éviter, mais à qui il faut bien sacrifier. Tout porte à croire que pour certains parmi ceux qui tiennent les rênes de la pub, l’histoire n’est pas un créneau vendeur. Plus grave, ils le liraient volontiers, avec un certain entrain intellectuel, ils l’apprécient, mais ils ne le retiendraient pas dans leur planning publicitaire. Du coup, ils ne croient pas à sa pérennité. Un peu comme si chaque numéro qu’ils ont entre les mains serait le dernier. Jusqu’ici, cette fin, quasiment annoncée, ne s’est pas produite et ne se produira pas. Zamane dans sa version francophone a largement entamé sa cinquième année, malgré toutes les difficultés financières attendues et inattendues. Il n’empêche qu’à la rédaction, le message des annonceurs a été reçu comme une invite à la prospection d’autres horizons thématiques que le seul vecteur, jugé improductif, de l’histoire. Ce qui pousse à être optimiste, c’est que la thématique historique est largement mise à profit par toutes les publications dites généralistes, ou presque. Cela voudrait tout simplement dire que l’histoire semble par ailleurs vendeuse. À l’exclusion, apparemment, d’une revue spécialisée dans l’histoire du Maroc. Paradoxal, mais pourtant vrai. Bien qu’il soit porteur de la loi implacable du marché, le pragmatisme mercantile qui prévaut, malheureusement, reste décalé et désespérément désolant. Ce n’est pas seulement la négation du rôle du fait historique, dans sa relation de cause à effet avec le présent, qui est impunément brandie comme un facteur rédhibitoire ; voire une incitation à l’amnésie collective. C’est carrément du mépris pour notre profondeur historique, le plus précieux de notre patrimoine immatériel et le constituant essentiel de notre identité nationale. Avec ou sans une éphéméride comme Zamane.
Mais avouez qu’il vaut mieux avec que sans…

YOUSSEF CHMIROU
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION

Pour voir l'article en complet, nous vous invitons à vous abonner ou à commander le numéro de la boutique numérique via le site.
S'ABONNER Boutique
Youssef Chmirou

Youssef Chmirou

Articles similaires Articles

EDITOS

À la recherche des Almoravides ! – Zamane

3 juin 2025
EDITOS

Wattassides, les oubliés de l’histoire… – Zamane

2 avril 2025
EDITOS

L’étoffe du temps ! – Zamane

5 mars 2025
EDITOS

Si les règnes des Rois et « Reines » du Maroc m’étaient contés – Zamane

2 janvier 2025
EDITOS

Casablanca, la poule aux œufs d’or et de misère ! – Zamane

28 juin 2024
EDITOS

Notre credo – Zamane

5 janvier 2024
Charger Plus
Prochain Post

Agadir : Hommage aux sinistrés - Zamane

Lalla Solica a été exécutée pour apostasie - Zamane

Franco n’a jamais eu d’armée marocaine pour remporter la guerre civile - Zamane

Commentaires 7

  1. Chrif Bel Kacemi says:
    10 ans ago

    vous faites un remarquable travail de recherche historique ce que nous ne trouvons nulle part ailleurs cependant vous prenez parti qqfois et ceci ne doit pas etre votre cas puisque je considere que vous devez etre au dessus de la melee accomplissant un travail d information denue de tout avis subjectif tendant a influencer le lecteur ! je
    vous felicite malgré tout ! BRAVO

    Répondre
  2. radouane kiker says:
    10 ans ago

    Zamane est pour moi le seul titre de presse marocaine que je lis avec autant de plaisir et d’intérêt que ceux de la presse étrangère ( française, anglaise et américaine). Que ce soit au niveau du style d’écriture ou du sérieux dans la recherche de l’information, Zamane a placé la barre haute pour les autres organes de presse au Maroc.
    En plus, de part sa « spécialisation », les articles de Zamane ne tombent jamais dans l’obsolete : je peux lire un numéro vieux de plusieurs mois ou même d’années avec le même intérêt que pour le dernier numéro du mois. Il m’arrive souvent de ressortir un numéro que j’avais déjà lu et de revisiter ses articles : ca me permet de rafraîchir les infos que j’avais déjà lu, et parfois même d’en apprendre de nouvelles qui m’avaient échappé lors de ma première lecture.
    A mon avis, la publicité sur Zamane doit être plus rentable pour l’annonceur car elle dure plus longtemps.
    Bravo Zamane

    Répondre
  3. philippe pierre ballias says:
    10 ans ago

    Bonjour
    J’apprécie votre magazine avec cette particularité, qui lui est propre, de représenter la culture et pas seulement l’Histoire Chérifienne comme du « Maroc ». On ne peut que se féliciter qu’existe chez Zamane, cette intention contraire, en effet, aux tendances des amateurs de moindre effort qui sévissent par paresse et facilitée comme actuellement. Irréflexions et inculture sont les deux mamelles de la bêtise et en bon français, la bêtise quand elle est collective, s’appelle « connerie ». Dieu nous préserve de tout cela avec vos bons soins et ceux de vos lecteurs. J’ai découvert votre titre par les recommandations de jeunes gens de votre pays et c’est un véritable plaisir que de développer avec eux les thèmes et articles que vous développez si intelligemment et opportunément. Que Dieu vous aide à persister pour le plus grand bonheur de vous voir subsister à nous régaler. ! Bien sincèrement.

    Répondre
  4. ennahdi el idrissi says:
    10 ans ago

    JE VOUS COMPRENDS. Mais c’est le lot de toutes les revues spécialisées ici ou ailleurs., En France par exemple si nous la prenons pour référence, les revues la-bas bénéficient de la pub  »collatérale » axée sur la spécialité de la revue ou sur les sujets développés. Chez nous, au Maroc qui y a-t-il de payant en dehors des laiteries et leurs produits blancs bien naturels, les laveries et leurs poudres très propres pour rendre propres, les sodas et leurs tam-tams et le zero sucre menteur, les labo entre le rouge incas d’une mannequin célèbre, si le labo est bien riche, et l’eye-liners de l’inconnue Khaddouj de Casa, si le local cherche à faire la paon ! ?… Vous voyez… vos lecteurs passer leur temps à bien  »zyeuter » ces pub. Non. Reste la pub ciblée en fonction de vos produits et vos productions. Zéro, rien : Editions ? nulles. Médias ? ils vivotent voire sur-vivotent, tentant d’avaler la pub ou d’avaler le lecteur, par leur une, si presse écrite. Jeux et vidéos ? Réduits à l’envoi de SMS payants sinon rackettant… Le problème de la presse spécialisée chez nous, est qu’elle veut faire chic : beau papier, belle couverture, belles images et là malheureusement, vu le tirage vu les ventes : ça ne pardonne pas et les équilibres ne seront jamais atteints car la spécialisation tue toute pub. Alors soit, moins de spécialisation soit aussi moins de chic. mais… vous êtes tellement bon que vous ne changerez rien. Tête d’ici, en grès, comme nous tous. Bon vent.

    Répondre
  5. lina says:
    8 ans ago

    Je commence a connaitre lhistoire dlbled de ses hommes et femmes a travers Zamane.Rien qe pr les photos inedites je mincline chapeau bas a tte lequipe.
    bne continuation

    Répondre
  6. Ali Zerriffi says:
    7 ans ago

    Je me souviens du premier Zamane que j’ai acheté .C’ était le numéro 8 et je me suis dirigé directement à vos bureaux et acheté les 7 numéros précédents plus la série de 8 pour offrir ,et introduire Zamane , à un ami . Il m’a été deifficile de suivre le magazine depuis le Mexique ou je réside mais je l’achete chaque fois que je rentre au Maroc . La version digitale a été une grande aide mais la logistique reste à définir (abonnement?). Votre probleme,quelque soit la manière dont vous le décrivez , pointe à un manque à gagner en termes de revenu publicitaire . Il me semble que si vous élaborez un profil de vos lecteurs vous pourriez cibler les produits et services qui les attireraient . Les annonceurs , bien entendu , vont vous juger sur la circulation et le nombre de clicks de votre version digitale qui , au fait , coûte moins cher à produire et peut avoir un écho beaucoup plus large

    Répondre
  7. Eddahbi says:
    7 ans ago

    Zamane est la seule revue marocaine que je lis et relis avec plaisir ! Ce serait une catastrophe que vous disparaissiez! Et l’Histoire intéresse tout le monde, enfants compris! J’ai été longtemps enseignante de mathématiques en France, et tous mes élèves de collège et de lycée me disaient que leur matière préférée était l’Histoire!

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Aucun Résultat
View All Result

EN KIOSQUE



logo

À propos

Zamane est un mensuel marocain principalement consacré à l'Histoire du Maroc et publié en deux versions linguistiques dont le contenu diffère : francophone, depuis son lancement en novembre 2010 et arabophone, depuis octobre 2013.

Nous suivre

Copyright © Zamane. Tous droits réservés 2018.

Aucun Résultat
View All Result

EN KIOSQUE


  • ON EN PARLE
    • ACTUALITÉS
    • ÉPHÉMÉRIDE
    • LE SAVIEZ-VOUS ?
    • VRAI
    • FAUX
    • UN MOT, UNE HISTOIRE
    • BUZZ DE L’HISTOIRE
  • AFFAIRE D’ÉTAT
  • L’ÉNIGME
  • DOSSIERS
  • NOTRE HISTOIRE
    • NOTRE HISTOIRE
    • L’INVITÉ
  • IDÉES
    • ÉDITOS
    • SUR LE VIF
    • DE LA MARGE
    • JOURNAL DE BORD
    • TÉMOIGNAGES
    • TRIBUNES
    • POLÉMIQUES
  • LE MAG
    • VIE QUOTIDIENNE
    • UNE VIE, UNE OEUVRE
    • GRANDS VOYAGEURS
    • UN LIEU, UNE HISTOIRE
    • AU-DELA DU MYTHE
    • VU D’AILLEURS
    • AFFAIRE CLASSÉE
  • VIDÉOS
  • E-ZAMANE
  • BOUTIQUE
Aucun Résultat
View All Result

Copyright © Zamane. Tous droits réservés 2018.